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Le Mufti injurie et défie Dieu pour Azali Assoumani

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Le Mufti injurie et défie Dieu pour Azali Assoumani

Il change la date de l’Aïd El-Kebir pour lui éviter la mort

Par ARM

      En 2016, le Mufti était devant Ikililou Dhoinine à Bête-Salam chaque jour pour lui répéter que son ami le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri, l’homme qui a volé quelque 20 milliards de francs comoriens aux Comoriens de 1999 à 2006, était un bon Musulman, mais que Mohamed Ali Soilihi, Houmed Msaïdié Mdahoma, Nourdine Bourhane et Abiamri étaient des mécréants à qui il ne fallait pas confier les rênes du pays. Ikililou Dhoinine était déjà travaillé au corps par son propre cerveau, mais aussi par le fugitif international polygame Hamada Madi Boléro, de sinistre mémoire, et par la Première Dame. C’est ainsi que par les procédés anticonstitutionnels les plus ignobles, les Mohéliens de Bête-Salam ont refait Roi un criminel qui avait quitté Bête-Salam le 26 mai 2006 sous les huées, injures, insultes, quolibets, malédictions et damnations des Comoriens. Au lendemain de cette immense forfaiture, le Mufti décerna le titre d’«Imam Al Ghazali» au dictateur de village qui allait reprendre les méthodes de voleur les plus condamnables pour enrichir sa famille et son clan.

      Toute honte bue, au lendemain du retour anticonstitutionnel de son copain à Bête-Salam par les procédés ignobles qu’on sait, le Mufti se jeta avec gourmandise sur le commerce du pèlerinage des Comoriens en Arabie Saoudite. Il ne recula devant aucune honte. Quelques mois plus tard, Dieu jeta sur lui une malédiction qui avait failli lui ôter la vie: le Mufti défroqué fut étranglé par nombre de maladies qui l’avaient rendu impotent. Il se retrouva à Paris pour ses traitements, pendant que son poulain faisait étendre partout aux Comores des banderoles et des pancartes proclamant «Azali Président de l’émergence de la santé», alors qu’il ne peut s’occuper ni des maladies qui le tuent lui-même, ni de celles de la Sultane Ntibé Ambari, sa «légendaire» première épouse, ni de celles de son ami le Mufti, le Mufti défroqué.

En juin 2017, c’est Loukman, fils du couple sultanesque composé du «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri et de la Sultane Ntibe Ambari, qui dirigea la répression dans les mosquées contre les Musulmans comoriens qui priaient paisiblement et dévotement pour l’apaisement entre l’Arabie Saoudite et le Qatar. Ces fidèles musulmans furent jetés dans un cachot par l’escadron de Mdé sous la férule du fils maudit et putschiste de demain, uniquement pour avoir prié pour la paix entre Musulmans. S’en ajoutent la destruction de deux mosquées à Anjouan et le vol de l’argent des pèlerins comoriens, chassés de leur hôtel en août 2017 en Arabie Saoudite et obligés de déguerpir vers un autre hôtel. En plus du vol de cet argent par les autorités, on y voit la main de Hamidou Karihila Hamadi, le sous-ministre traité en épouse morganatique et qui veut se venger de ses copains.

Et comme si cela ne suffisait pas sur le volet des offenses et injures faites à Dieu, voilà le Mufti lancé dans la plus grande insulte envers Dieu. Le jeudi 31 août 2017, les Musulmans en cours de pèlerinage seront à Arafat, et la plus grande fête musulmane (Aïd El-Kebir) devra être célébrée le vendredi 1er septembre 2017. Tout ça est clair. Pourtant, le Mufti ne veut pas d’une Aïd El-Kebir un vendredi. Mais, pourquoi? Parce que dans la superstition comorienne, quand l’Aïd El-Kebir est célébrée un vendredi, l’homme au pouvoir meurt peu de temps après. Donc, pour que son ami, le dictateur de Mitsoudjé, ne soit pas enterré bientôt sous peu, le Mufti a décidé de faire célébrer l’Aïd El-Kebir le samedi 2 septembre 2017 au lieu du vendredi 1er septembre. Dès lors, les vrais oulémas du pays ont décidé de passer outre les bêtises superstitieuses et dictatoriales du Mufti pour faire célébrer l’Aïd El-Kebir le même jour que les autres Musulmans du monde entier. Il va y avoir des dérapages donc. Il va y avoir du désordre. Le couple maudit formé du dictateur de Mitsoudjé et du Mufti défroqué de Ntsoudjini va déployer les moyens de la tyrannie pour s’imposer, et il arrivera ce qui arrivera.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 25 août 2017.


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