Le fils de Saïd Ali Saïd Ahmed injurie les Comoriens
Son père est le seul noble, Chérif et érudit des Comores
Par ARM
La vidéo fait vomir. Les propos qui y sont tenus sont abjects. Le fils de Saïd Ali Saïd Ahmed, Conseiller à Bête-Salam, a consacré 5 minutes et 48 secondes pour injurier les Comoriens sur YouTube. Comme dit cette politicienne, «aujourd’hui, aux Comores, il suffit d’avoir un téléphone portable pour débiter n’importe quoi sur Internet». Le fils de son père, visiblement aux nerfs fragiles ayant implosé, aurait dû se casser les deux jambes au lieu de se ridiculiser et de ridiculiser son père. Son père fait partie de ceux qui ont conduit les Comores dans un trou, et il ne veut pas qu’on dise que son paternel est un malfaiteur. Il veut le faire passer pour un respectable humaniste. Il oublie que devant l’Ambassade des Comores à Paris, son vioque a traité de voleur le père d’un contestataire qu’il ne connaît même pas. Le petit traite de nuls et de ratés les Comoriens vivant en France, estimant qu’ils n’avaient même pas atteint le niveau de 4ème au Collège. Les aboyeurs et autres roquets de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé ne passent-ils pas leur temps à insulter les Comoriens vivant en France?
Le petit dit que son paternel est intouchable parce qu’il est le digne descendant de ceux qui ont introduit le sang du Prophète Mohammed aux Comores. Si le petit connaissait un peu l’Histoire, il aurait appris que les pires ennemis de l’Islam se recrutaient au sein des Koraïchites, les vrais parents, mecquois, du Prophète Mohammed. Alors, un Nègre qui se dit Chérif, donc descendant du Prophète… Qui plus est, il y a bien de malfaiteurs qui se disent descendants du Prophète et qui ne font pas honneur à l’ancêtre dont ils se réclament. Qu’on se le dise! Et, le statut de Chérif n’est pas une autorisation pour faire partie d’une association de malfaiteurs. Ce Saïd Ali Saïd Ahmed-là est le Conseiller d’un dictateur qui assassine, vole détruit, méprise, fornique, provoque des coups et blessures, insulte publiquement les Comoriens, et détourne le suffrage de tout un peuple. Il est coauteur des actes de ce criminel.
Le petit est très fier de dire que son père est à Bête-Salam depuis la première kleptocratie du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger» (1999-2006). C’est une référence qu’on ne brandit pas quand on voit l’état de délabrement dans lequel se trouvent les Comores. Le petit dit que son père est un intellectuel, mais ne dit pas ce que l’intellect de son père a produit. Qui plus est le petit prétend être bien élevé tout en insultant les Comoriens et tout en reniant aux autres le droit de riposter. Ce qu’il ne sait pas, c’est que les Comoriens, qu’il méprise, comme le lui a appris son père, sont mieux éduqués que son père et lui-même, mais sont en guerre et font usage de toutes les armes devant les aider à vaincre un monstre et sa bande de monstres.
Dans cette affaire, père et fils ont commis chacun une faute envers l’autre. Le père n’a pas éduqué le fils. Le fils n’a pas dit à son père que s’il veut être respecté par les Comoriens, il doit se comporter de façon honorable. Or, l’un et l’autre sont restés dans la folie consistant à dire et à répéter «je suis». Si ce petit tenait des propos aussi injurieux à Mohéli, et en disant que son père est un Chérif, qu’il est instruit, qu’il est noble, à l’heure qu’il est, il n’aurait aucune dent dans sa bouche. Le Mohélien ne dit jamais qui il est; ce sont les autres qui disent qui il est. Le shakespearien Saïd Ali Saïd Ahmed a fort à faire avec l’éducation de son fils. Il doit commencer par lui dire qu’il n’a pas volé le mauvais accueil qui lui a été réservé à l’Aéroport parisien de Roissy, et qu’il est normal qu’un voyou soit traité en voyou.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 13 novembre 2019.
