«Le baobab tombe par beau temps et pas par le vent»
Assoumani Azali ne quittera jamais Bête-Salam en vie…
Par ARM
Le Coran nous apprend ceci:
«Quand les rois pénètrent dans une cité, ils la saccagent et font de ses plus nobles habitants les plus misérables des hommes. C’est ainsi qu’ils agissent» (XXVIII, Les Fourmis, 34).
On constate ce phénomène aux Comores, à la lumière de la politique de destruction menée par le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Le dictateur fou de Mitsoudjé est tellement habitué à vivre dans le Mal que partout, aux Comores, il préfère la compagnie des pires bandits, tournant ostensiblement le dos à tout ce qui représente une noblesse quelconque. À Mohéli, s’il avait eu l’intelligence de choisir la compagnie des nobles, ces derniers lui auront appris une chose fondamentale: «Le baobab tombe par beau temps et pas par le vent». Aux Comores, le baobab est le Roi des arbres, de par la taille majestueuse de son tronc. On aurait pu s’attendre à ce que seul le vent puisse être le seul à pouvoir le déraciner. Pourtant, personne n’a vu un jour le vent déraciner un baobab. Le baobab finit par tomber, mais jamais par la force. Le beau temps suffit. Le Roi des arbres des Comores tombe toujours tout seul, sans être poussé. La chute du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri se fera de la même manière: sans la moindre poussée, il tombera. Mais, contrairement à 2006, quand il avait quitté Bête-Salam vivant, cette fois-ci, c’est transporté dans un cercueil par les autres qu’il fera ses adieux à cet endroit qui l’obsède à mort et jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 8 septembre 2019.
