L’assassinat du gendarme Ahmed Abdou dit Fanou remet en scène Saïd Larifou
Larifou en fait trop, se met trop en vedette et exploite trop, sans décence, ce deuil
Par ARM
Aucune des plaintes fantaisistes, pathétiques et extravagantes de Saïd Larifou n’a abouti un jour. Ses plaintes finissent toutes en eau de boudin, en queue de poisson. Alors que tous les Comoriens sont dans le deuil du fait de l’assassinat, dans la nuit du 13 au 14 septembre 2024, du gendarme Ahmed Abdou dit Fanou, qui a planté un couteau dans la tête du dictateur Assoumani Azali Boinaheri le vendredi 13 septembre 2024, toute honte bue, Saïd Larifou, mort totalement sur les plans professionnel et politique, bénit cet assassinat qui lui permet de se mettre en vedette sans décence, ni pudeur, ni retenue. Ses larmes de crocodile n’émeuvent personne. Soumise à des pressions mortelles aux Comores par la famille du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, la famille du regretté Ahmed Abdou s’est réfugiée à Mayotte, où elle a demandé l’asile. Saïd Larifou en profite pour se mettre en vedette, prétendument en tant qu’Avocat de cette famille anéantie par un deuil que nous partageons tous. Saïd Larifou a déposé une plainte à Mayotte contre la dictature de Mitsoudjé, lui qui n’a jamais été capable de faire aboutir une procédure judiciaire contre un voleur de poule morte et de slip troué.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 5 novembre 2024.