Emmanuel Macron définit la dictature et ses ressorts
Comme s’il apprenait cette définition à Assoumani Azali
Par ARM
La vidéo pornographique montrant Salim Saadi au journal de l’ORTC, «l’odieux-visuel» de la dictature de Mitsoudjé, suscite tellement de dégoût que les Comoriens en vomissent. Il est de notoriété publique Salim Saadi est corrompu par le fraudeur électoral céleste et divin Assoumani Azali Boinaheri, qui souhaitait le nommer «chef de l’opposition» mais qui a été incapable de le nommer Député. Salim Saadi organisait des meetings électoraux maudits et snobés par la population. Or, pendant sa séance pornographique sur l’ORTC, il a passé son temps à marteler qu’il était «l’opposition» et que la vraie opposition nationale était constituée de «rebelles» et de terroristes, qu’il appelle stupidement «Boko Haram». Il a remplacé «Je» par «Salim Saadi». Tué par la bêtise, il n’a pas assisté à la chute dans la honte du chef de la Diaspora séropositive, corrompu comme lui pour tenter de discréditer l’opposition. Il n’a même pas constaté qu’il a entamé sa propre descente aux enfers.
Emporté par une colère haineuse, Salim Saadi veut obliger l’opposition des Comores à reconnaître l’illégitime Assoumani Azali Boinaheri comme dirigeant légitime. Comme il croit qu’il restera pour l’éternité un jeune, le benjamin des «politiciens» comoriens, il est incapable d’avoir le recul nécessaire à la connaissance d’une réalité basique: le dictateur Assoumani Azali Boinaheri n’a jamais été élu: en 1999, il est le putschiste dont le coup d’État avait conduit au bannissement international des Comores. En 2002, le fugitif international Hamada Madi Boléro, l’éternel fraudeur électeur amateur le fait «élire» à 100% dans une confusion internationale. En 2016, les Mohéliens de Bête-Salam du fugitif international Hamada Madi Boléro le font «élire» à 104%. En 2018, le fraudeur électoral tombé du ciel organise la saleté référendaire pour la «non-Constitution de la main coupée et de la mort». En 2019, le fraudeur électeur de Dieu qu’est Assoumani Azali Boinaheri se fait «élire» sans élections.
Malgré tout, Salim Saadi veut que les Comoriens accordent de la légitimité et reconnaissent un dictateur qui n’a jamais été élu. Quelle honte! Comme Salim Saadi a inclus Emmanuel Macron dans ses injures à l’opposition comorienne, il est invité à prendre connaissance des propos tenus par le Président français dans l’avion qui le ramenait d’Israël et qui ont été diffusés sur Radio J dans la matinée de ce vendredi 24 janvier 2020: «Mais, allez en dictature! Une dictature, c’est un régime où une personne ou un clan décident des lois. Une dictature est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. Si la France, c’est cela, alors essayez la dictature et vous verrez. La dictature, elle justifie la haine. La dictature, elle justifie la violence pour en sortir. Mais, il y a en démocratie un principe fondamental: le respect de l’autre, l’interdiction de la violence, la haine à combattre».
On a l’impression que ces propos s’adressent à Salim Saadi et à son maître, l’insulteur blasphématoire Assoumani Azali Boinaheri: aux Comores, une personne et son clan font la Loi. Ce dictateur ne veut pas être changé à la tête de l’État. Il suscite et justifie la haine. Le satrape Assoumani Azali Boinaheri justifie la violence qui doit être utilisée pour le chasser du pouvoir. Il ne connaît pas le respect de l’autre. Il n’interdit pas la violence mais en fait l’apologie. Il ne combat pas la haine, mais la diffuse.
Quant à Salim Saadi, un simple contrôle d’identité le fera bannir de la scène politique, le moment venu. Ce moment viendra. Juste un contrôle d’identité: «Vos papiers, Monsieur!».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 24 janvier 2020.
