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Djaafar Ahmed Saïd Hamadi dégoûte les autres voleurs

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Djaafar Ahmed Saïd Hamadi dégoûte les autres voleurs

Devenu le roi des brigands, il vole plus vite que son ombre

Par ARM

      C’est Francis Bacon (1561-1626) qui a dit: «Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose». Pour leur part, les Latins du Moyen-âge disaient: «Audaciter calomniare semper aliquid haeret», c’est-à-dire; «Calomniez audacieusement, il en restera toujours quelque chose». Aujourd’hui, aux Comores, le mot d’ordre est: «Volez, volez, il en restera toujours quelque chose», et les plus cyniques proclament: «Volez audacieusement, il en restera toujours quelque chose». D’accord, mais il reste quoi à voler aux Comores?

Sous la deuxième kleptocratie du kleptocrate Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», il est un homme dont les méthodes de voleur sont tellement dégueulasses que les autres voleurs répugnants de la basse-cour de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé sont tout simplement dégoûtés et vomissent. Quand un voleur fait vomir les autres voleurs par ses méthodes encore plus indécentes, malsaines et fangeuses en matière de vol, c’est qu’il a aboli toutes les frontières de l’indécence. Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Au secours! Au secours!) est ce voleur malsain. Par le passé, il a déjà défrayé la chronique par sa douloureuse tendance à faire monter sur son lit des gamines tellement jeunes qu’il n’est pas interdit de parler de pédophilie à son égard. Il a pourri le Tribunal de Moroni par sa vénalité et par sa méprisable corruption l’incitant aux saletés les plus repoussantes.

Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Ouf! Ouf!) est un vrai voleur, le roi des voleurs, un gars très sale, usant de méthodes condamnables. Même les agents et fonctionnaires de Bête-Salam, la chasse gardée des voleurs sans la moindre morale, parlent du mal de lui, daubent sur lui et font des tartines sur son dos. Au plan moral, il est sale et répugnant. Mesdames et Messieurs, imaginez un peu que si les voleurs de Bête-Salam, à l’instar du Monsieur Neveu, Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», ci-devant, secrétaire général du gouvernement, sont choqués par son comportement de voleur vénal, c’est qu’il se passe des choses très bizarres et dangereuses dans son sillage.

Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Au secours! Au secours!) s’est fait une spécialité: quand il effectue un voyage à l’étranger, il rackette les sociétés d’État, alors qu’il a déjà touché des frais de mission et des indemnités de déplacement. Lorsqu’il voyage pour la géothermie, il raquette la Direction de l’Énergie. Quand il voyage pour une affaire liée à l’électricité, il rackette la MAMWÉ. Quand il a été au Brésil à la mi-2016, il a racketté la Direction de la Jeunesse. La dernière société avoir été victime du racket du sinistre individu est l’Office national d’Importation et de Commercialisation du Riz (ONICOR). En effet, alors qu’il devait voyager en Arabie Saoudite pour un sombre et ténébreux financement, il a racketté l’ONICOR. Il a vraiment des méthodes vilaines. Il est vénal. Il n’est pas humain. Toutes les sociétés d’État passent à la trappe après l’avoir rencontré. Même les voleurs les plus endurcis se moquent de lui et parlent sur son dos. Ce qui signifie que, avec lui, les choses sont allées très loin et très mal.

Ses deux projets mafieux sont voués à l’échec. D’une part, avec Bahassane Blablas, sa crapule de frère, devenu le «Conseiller juridique» de toutes les entreprises d’État, il est obsédé par leur prétendu Parti Blanc, pour fuir la Confrérie des Renégats et des Criminels (CRC), et croit qu’il est important, uniquement parce qu’il vole l’argent du peuple comorien. D’autre part, il cherche le moyen «juridique» qui lui permettra de faire un coup d’État constitutionnel à son beauf, le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri au lendemain des 900 jours que le dictateur de Mitsoudjé aura passés à Bête-Salam. Esprit de famille, quand tu nous tiens…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 27 décembre 2017.


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