«Dieu fasse qu’il revienne les mains vides de la COI»
Hamada Boléro: malédiction et bilan négatif à la COI
Par ARM
«Que Dieu fasse qu’il revienne les mains vides de la Commission de l’océan Indien» (COI). Cette imprécation est de Hadidja Aboubacar dite Maman, épouse Ikililou Dhoinine, quelques jours avant la fin sans gloire du règne des Mohéliens de Bête-Salam, et alors qu’elle venait de se faire couillonner par le fugitif international Hamada Madi Boléro, lors de l’élection gubernatoriale de Mohéli en 2016 au cours de laquelle les Mohéliens l’avaient sanctionnée sévèrement en élisant Mohamed Saïd Fazul à 63,29%, contre 36,71% pour elle.
La malédiction précitée concernait le fugitif international Hamada Madi Boléro. Maman, dont le mari venait d’offrir le secrétariat général de la COI au bandit pour juillet 2016 à juillet 2020, avait ajouté, amère et dégoûtée: «Tout le monde était pour la nomination de Mohamed Larif Oucacha au poste de Directeur du Cabinet du Président chargé de la Défense et, seule, j’ai soutenu Hamada Madi Boléro, “la viande du couˮ, qu’on ne peut ni manger car trop osseuse, ni jeter, puisque contenant quelques traces de viande. Je regrette ce choix».
Dès lors, les Mohéliens et les autres Comoriens présentent leurs sincères félicitations à Maman puisque le fugitif international n’a ramené de la COI que sa médiocrité haineuse et sa misanthropie. Il n’a eu qu’une tentative de réforme, médiocre, à la hauteur de son initiateur, qui disait que la COI devait cesser d’être une Commission, car une organisation internationale universelle ou régionale ne pouvait s’appeler Commission. Quel mensonge! Une organisation internationale universelle ou universelle peut s’appeler Commission, Pacte, Organisation, Union, Communauté, Ligue, Charte, Alliance, Conseil, Association, Programme, etc.
Durant 5 ans, les ressortissants des autres États membres de la COI ont dénoncé sa lâcheté et sa nature peureuse à l’égard du personnel, et son indifférence envers la criante sous-représentation des Comoriens au sein l’organisation, nonobstant sa latitude d’action. Mais, il faut connaître le personnage pour savoir qu’il aurait préféré crever la bouche ouverte plutôt que de réparer cette sous-représentation. Le fugitif n’aurait jamais nommé un fonctionnaire justifiant un diplôme en Droit international ou en Relations internationales en plus d’une solide expérience dans la diplomatie, lui qui n’aime que les ignorants soumis, sans dignité.
On s’en fout de l’achat de meubles pour son château des Mille et Une Nuits à Malouzi. En termes d’apport, son bilan est entièrement négatif. Il a été tellement nullissime que certains au sein de la COI pensaient au moyen juridique d’abréger son mandat pour le renvoyer sur les manguiers de son village de Chouani, en Grande-Comore. Il est tellement misanthrope qu’il pense toujours négativement. Il sème et répand le mal, et ses défenseurs doivent nous citer un seul acte positif qu’on peut lui attribuer en tant qu’acteur politique comorien ou en sa qualité de secrétaire général de la COI. Il a fait quoi en bien? Qu’on le dise au peuple!
Dès qu’il va rentrer chez lui, en Grande-Comore, en juillet 2020, il va semer une telle haine et une telle pagaille au sein de la dictature de son pote le criminel Assoumani Azali Boinaheri que les divisions au sein de la satrapie vont puer à 10.000 km à la ronde. Il a le mal en lui, et s’en glorifie. En avril 2014, dans le tract historique «Kala Wa Dala», les jeunes héros nationaux de Djoiezi l’avaient ainsi décrit: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha) [«Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20). Mention: Traître». J’adore ces jeunes Djoieziens pour leur audace, leur clairvoyance et leur intelligence. Merci.
Par ARM
Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.
© www.lemohelien.com – Vendredi 26 juin 2020.
