Condoléances à mon Professeur M. Abdou Soimadou
Sa nièce Moina Wardata Mhadjou Boina vient de mourir
Par ARM
«Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, qui disent, quand un malheur les atteint: “Certes nous sommes à Allah, et c’est à Lui que nous retournerons”. Ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde; et ceux-là sont les biens guidés» (II, La Vache, 155-157).
C’est avec une profonde tristesse et une immense douleur que j’ai appris de mes frères et sœurs de Mbéni la mort à la fleur de l’âge de Mlle Moina Wardata Mhadjou Boina, dans la nuit du 16 au 17 mai 2020, à Vigneux-sur-Seine, dans l’Essonne, en région parisienne.
Mlle Moina Wardata Mhadjou Boina était la nièce de mon Professeur Mohamed Abdou Soimadou. C’était une fille brillante, qui a remarquablement fait et fini ses études supérieures, et qui avait le sens de la sociabilité et du respect des valeurs sociales et sociétales des Comores.
Première à gauche: Moina Wardata Mhadjou Boina, que Dieu l’agrée dans Son Paradis
Sa mort brusque est une source de souffrance et d’affliction pour tous et toutes ceux et celles qui la connaissaient et la respectaient pour ses innombrables qualités et vertus.
Suite à ce décès qui affecte beaucoup de Comoriens, au-delà de Mbéni et du Hamahamet, je présente mes sincères condoléances à mon Professeur Mohamed Abdou Soimadou, à toute sa famille et à ses proches.
Nous sommes nombreux à prier pour que Dieu, dans Sa Grande Miséricorde et dans Sa Clémence infinie, accueille Moina Wardata Mhadjou Boina dans Son Paradis.
«Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, qui disent, quand un malheur les atteint: “Certes nous sommes à Allah, et c’est à Lui que nous retournerons”. Ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde; et ceux-là sont les biens guidés» (II, La Vache, 155-157).
www.lemohelien.com – Dimanche 17 mai 2020.
