Comme Halima, Fazul retrouve ses vieilles habitudes
Il est de retour à Moroni avec son huile, son piment, etc.
Par ARM
Sarcastique, caustique et un tantinet provocateur, le proverbe marocain dit: «Halima a retrouvé ses vieilles habitudes». Cela signifie que personne n’arrive à se débarrasser de ses vieilles habitudes. Aux Comores, il est un individu incapable de se défaire de ses vieilles et mauvaises habitudes: Mohamed Saïd Fazul dit Babadi ou «Mtsouzi Poitra» («Sauce gélatineuse»), semblant de «Gouverneur» de Mohéli. Comme il sait que ses faits et gestes sont surveillés, notamment ses déplacements sur les autres îles, il ne veut pas donner raison à son pire ennemi, le site www.lemohelien.com, qui ricane et daube sur son installation à vie hors de Mohéli. Depuis le mardi 7 juillet 2020, il rongeait son frein, mourant d’envie de rentrer chez lui à Moroni, à L’Hôtel Le Moroni, où, en compagnie de Fatima Hamidi, sa première épouse, il se livre à son commerce de piment, feuilles de manioc pilées et huile de coco. Eh bien, Babadi a retrouvé sa capitale, et a fini sa visite officielle à Mohéli. Les Mohéliens sont contents de le voir rentrer chez lui, à Moroni, au lieu de traîner sur leur île, en attirant des journalistes racistes de Grande-Comore, qui font le déplacement jusqu’à Mohéli, pour le provoquer comme un fou, juste pour le pousser à faire des déclarations à l’emporte-pièce destinées à amuser le tapis et la galerie. Que ces journalistes racistes aillent l’interroger jusqu’à la fin du monde sur le lieu de ses ventes de ses feuilles de manioc pilées, huile de coco et piment, à l’Hôtel Le Moroni, et non à Mohéli, une île se trouvant à l’étranger.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 10 août 2020.
