Chaher Ben Saïd Massounde, indic de Fakri Mradabi

Chaher Ben Saïd Massounde, indic de Fakri Mradabi

Il est le chouchou de l’obscur Ahmed Hassane El Barwane

Par ARM

       L’ancien, très ancien ministre Chaher Ben Saïd Massounde est tombé bien bas. Alors qu’il aurait dû être soucieux d’endosser les habits de sage des Comores que revêtait jusqu’à sa mort en décembre 2020 notre regretté père Saïd Hassane Saïd Hachim, paix à son âme, il a décidé de faire dans la veulerie, le déshonneur, la fange et la trahison. En effet, malgré le deuil dans lequel le dictateur Assoumani Azali Boinaheri a plongé le peuple comorien depuis le jeudi 26 mai 2016, Chaher Ben Saïd Massounde, qui prétend lutter contre la dictature de Mitsoudjé, est devenu le traître le plus décomplexé et le collabo le plus éhonté de la dictature. Ses discussions directes et indirectes avec l’assassin Kiki sont de notoriété publique internationale, pour soutenir le «monologue des sourds», maudit, exécré et honni par les Comoriens. Mangeant à tous les râteliers de la dictature, il est devenu l’indic de Fakri Mahamoud Mradabi, ennemi juré de Kiki, dont il est le successeur au «ministère de l’Intérieur». Il ne se cache plus. Il dit tout à Fakri Mahamoud Mradabi sur l’opposition. En plus, ses paroles méprisantes et blessantes envers les gens sont celles qu’il avait à la bouche quand il était l’un des barons du régime politique des Domoniens comme lui, Ahmed Abdallah Abderemane et celui de son frère Tadjidine Ben Saïd Massounde.

Chaher Ben Saïd Massounde, nommé secrétaire du Front commun de l’Opposition en France par Ahmed Hassane El Barwane, secrétaire général à mort et jusqu’à ce que mort s’ensuive du Parti Juwa, fait le vide autour de lui. Sous les ordres de la dictature, il brise, divise, fait craqueler et fait imploser l’opposition de telle sorte que les opposants comoriens en général et les opposants anjouanais en particulier le fuient comme s’il était porteur à la fois du sida, de la peste, du coronavirus et d’Ébola. Le même Ahmed Hassane El Barwane, qui prie pour le pourrissement du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi en résidence surveillée pour qu’il mène le Parti Juwa à la mort (quand on n’a ni charisme, ni sens de leadership, on ne dirige pas un parti politique), est également celui qui a imposé le Docteur Jimmy Saïd Adam, complice de Chaher Ben Saïd Massounde dans la destruction de l’opposition, un individu brumeux, connu pour sa complicité avec Fakri Mahamoud Mradabi. Depuis qu’il est sorti de prison, Ahmed Hassane El Barwane est devenu ténébreux, toujours sous l’effet du syndrome de Stockholm, qui l’a amené à pardonner le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, qui l’avait emprisonné anticonstitutionnellement et illégalement pendant de longs mois, se permettant de dire: «Azali m’avait emprisonné. Azali m’a libéré». Cela veut dire qu’il trouve normales toutes les dérives de son ami le dictateur de Mitsoudjé, avec qui il s’est visiblement réconcilié.

À ce rythme, les «opposants» ont quatre petits siècles devant eux pour chasser du pouvoir le dictateur Assoumani Azali Boinaheri.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 1^er février 2022.