• Home
  • /
  • actualite
  • /
  • Azali Assoumani, protégé et ami du baron de la drogue

Azali Assoumani, protégé et ami du baron de la drogue

Partagez sur

Azali Assoumani, protégé et ami du baron de la drogue

Hamada Madi Boléro a présenté les deux voyous l’un à l’autre

Par ARM

     Le premier régime politique mafieux du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Baba est entré dans l’Histoire sous le signe de la circulation de la fausse monnaie aux Comores. Avant le putsch perpétré par le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Baba le 30 avril 1999, il n’y avait jamais eu de circulation de fausse monnaie aux Comores en grande quantité. C’est donc cet homme qui avait fait des Comores une plaque tournante du trafic de la fausse monnaie. Les Comoriens les plus charitables s’étaient limités à qualifier le régime politique du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani de «gouvernement de bandits». Des bandits sans foi, ni Loi. Les deux chefs de la junte militaro-civile étaient le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani et son âme damnée, le futur fugitif international Hamada Madi Boléro. Pendant 7 ans, les deux chenapans avaient été les émérites animateurs de ce trafic immonde qui avait détruit les Finances publiques comoriennes pour de nombreuses années.

     Lors de l’élection présidentielle de 2016, le futur fugitif international Hamada Madi Boléro a présenté à son chef le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani un commerçant européen toujours impliqué dans des affaires malhonnêtes et illégales. Ce commerçant est un baron de la drogue lié à l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro dans un certain nombre de trafics louches et qui risqueraient d’envoyer l’un et l’autre en prison pour au moins une vingtaine d’années parce que les combines des deux individus vont des fausses factures fabriquées à Paris au trafic international de drogue. Moroni est devenu une plaque tournante du trafic international de la drogue, et l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro, qui avait été corrompu par la femme d’un trafiquant d’êtres humains en «kwassa-kwassa» entre Anjouan et Mayotte, sait s’y prendre. C’est alors que le commerçant européen ami et complice du futur fugitif Hamada Madi Boléro a lancé l’idée de blanchir l’argent de la drogue aux Comores en se servant d’un «projet d’investissement» qui, dès qu’il avait été présenté aux autorités comoriennes, même les plus nulles parmi elles avaient compris que l’affaire relevait du blanchiment d’argent de la drogue. On n’investit pas des courants d’air…

     Mais, attention, le commerçant européen n’est pas seul dans l’affaire; il a un complice bien comorien, qu’il a l’habitude de mettre devant et qui, à son tour, a l’habitude de dire qu’il est «l’homme d’affaires» qui veut investir des millions d’euros aux Comores, alors qu’il n’a pas un radis en fonds propres, hormis l’argent de la drogue. Le futur fugitif international Hamada Madi Boléro a présenté son ami le trafiquant de la drogue au «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Baba en décembre 2015. Le baron de la drogue s’empara du dossier «corruption» du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Baba, et avait tenté une manœuvre d’approche auprès d’autres candidats, qui l’ont envoyé paître. Partout où il y avait des combines louches et des gens à corrompre, le baron de la drogue ami de Hamada Madi Boléro était là, avec son culot de voleur pour corrompre. Ce trafiquant de drogue ami de l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro a été le maître d’œuvre de toutes les saletés électorales dans lesquelles il fallait corrompre les gens. Il a corrompu, corrompu et corrompu. Actuellement, il est en train de récupérer ses billes: le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Baba et son âme damnée l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro sont en train d’arroser l’homme qui n’a jamais hésité de plonger ses mains sales dans le cambouis pour les avoir encore plus sales. Il s’agit de l’une des sales batailles souterraines qui se jouent actuellement à Beït-Salam et qui vont enterrer définitivement les Comores.

     Déjà à deux, les malfaiteurs font des ravages, surtout quand il s’agit d’un «pouvoiriste» polygame et d’un ancien fugitif international. Alors, imaginez un baron de la drogue en plus… Le «pouvoiriste» Azali Assoumani et l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro – devenu brusquement susceptible au point de parler d’«injures», l’autre jour à La Défense, pour les critiques qu’il reçoit pour ses méfaits inacceptables – ne surprennent plus personne aux Comores et à l’étranger puisque personne n’attend rien de bon d’eux.

Par ARM

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Vendredi 22 juillet 2016.


Partagez sur

One Comment

  • MARANDRAZI

    juillet 23, 2016 at 8:32

    Bonjour cher frère,

    Je n’ai jamais mis en doute tes révélations, connaissant le respect que tu as pour les règles de la déontologie journalistique et du travail intellectuel, en plus de ton patriotisme distingué. Mais, les présentes révélations sont tellement graves, pour l’avenir de notre pays, que je ne peux pas résister de te demander de nous livrer les éléments susceptibles de nous permettre d’identifier ce gourou de cette mafia dangereuse pour notre patrie.

    Ces informations sont d’autant plus indispensables qu’elles permettront d’autres concitoyens, comme moi, de confirmer des soupçons de “même nature” sur des individus supposés être proche du pouvoir actuel.

    En te remerciant.
    ——————
    Bonsoir, frère,
    Les barons de la drogue ne laissent pas de traces et des preuves derrière eux. Je donne un nom, je me retrouve avec énième procès, seul moyen de me tuer. La personne est connue.
    Cordialement,
    ARM

    Répondre

Laisser un commentaire

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.