• Home
  • /
  • actualite
  • /
  • Azali Assoumani et sa «communication» de l’injure

Azali Assoumani et sa «communication» de l’injure

Partagez sur

Azali Assoumani et sa «communication» de l’injure

Le fou furieux Saïd Ali Saïd Ahmed pète encore un câble

Par ARM

      Sur le chef de guerre somalien Mohammed Farah Aïdid, on a écrit avec ironie et sarcasmes: «Ses partisans l’avaient surnommé l’“Invincible”. Il ne l’était pas suffisamment puisqu’il n’a survécu que quelques jours à une blessure par balle dans l’abdomen. Mohammed Farah Aïdid est mort le 1er août 1996, à Mogadiscio, victime d’affrontements armés dont il était l’un des principaux responsables»: Mohammed Farah Aïdid (Somalie), in Michel Gaud et Laurence Porgès: Biographies de quatorze chefs de guerre, in Jean du Bois de Gaudusson et Michel Gaug: L’Afrique face aux conflits (Numéro spécial), Afrique contemporaine n°180, La documentation Française, Paris, octobre-décembre 1996, p. 176.

      Le guitariste, soliste, chanteur, joueur de cartes et de dominos et «concubinocrate» Azali Assoumani est dans ce sentiment d’«invincibilité» cher à feu Mohammed Farah Aïdid. Ses chiens de garde l’y confortent par ignorance, inculture et apologie de la violence. L’issue de cette bêtise monstrueuse est entre les mains de Dieu, qui seul, sait ce qu’Il fera de cet être malfaisant, qui ne comprend rien aux réalités du monde. Plus grave, le Khalife autoproclamé du Hambou ne suit même pas l’actualité internationale et n’est pas au courant du violent limogeage d’Anthony Scaramucci, qui n’a tenu à son poste de Directeur des Communications du Président de la première puissance mondiale que 10 jours. En 10 jours au poste, Anthony Scaramucci a quand même eu le temps de lancer des injures très graves envers les adversaires, mais également envers le Conseiller stratégique de son chef.

Aux Comores, les fous maudits Msa Ali Djamal, Mohamed Abdou Mbechezi et Saïd Ahmed Saïd Ali, les responsables de la «Communication» de leur maître, le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani, passent leur temps à injurier tous ceux qui disent tout haut ce que les Comoriens, dans leur extrême majorité, disent tout bas sur l’incompétence criminelle du dictateur fou de Moroni et sur sa tendance à ramener la République des Comores à la République de Kalakuta, dont la capitale est Mitsoudjé, le village natal d’Ubu des Comores.

      C’est ainsi que, en citoyen modèle, soucieux de l’intérêt général de son pays, l’intellectuel Ahmed Wadaane Mahamoud, auteur de nombreux ouvrages de grande utilité publique, s’indigne sur le massacre des compagnies aériennes comoriennes par le proconsul Jean-Marc Heintz, de sinistre mémoire. Il a écrit dans un français bon père de famille un plaidoyer pour ces compagnies aériennes devenues les victimes expiatoires de la folie destructrice de Jean-Marc Heintz, naguère infichu de gérer sa propre compagnie aérienne, tombée en faillite depuis longtemps. Ce texte patriotique s’intitule «Voler dans les airs de leurs propres ailes».

Le talentueux écrivain y écrit en substance: «Les hautes fonctions du Président Azali s’envolent peu à peu devant la disparition rapide d’Ab Aviation et d’Int’Air Iles. L’image de prise d’otage de tout un peuple et les sentiments de honte dominent les conversations publiques entre simples citoyens. Honte au plus haut sommet de l’État, dirigé par le Président Azali, qui laisse une seule et unique direction, plus technique que toute autre chose, décider des mesures injustes de blocage, au point de rendre vide l’espace aérien comorien. Les trois pouvoirs, politique et gouvernemental, législatif et judiciaire, administratif et commercial devraient, normalement, statuer, chacun dans son domaine de compétences avant cette mise à mort des deux compagnies comoriennes. Sinon un Chef de l’État n’a pas sa place, un Ministre des Transports n’a aucun intérêt et un Président de tribunal administratif ne joue aucun rôle et un Président de tribunal de Commerce n’a aucune utilité, au vu de la paralysie d’Ab Aviation et de l’asphyxie d’Int’Air Iles qui s’apparentent maintenant à un frein d’atterrissage brusque des deux compagnies et à une chute libre des jeunes investisseurs et pilotes comoriens, qui affichent toujours leur volonté inébranlable de voler de leurs propres ailes».

      Mesdames et Messieurs, nos échanges sur ce site permettent de constater votre parfaite maîtrise de la langue française et ses subtilités, mais aussi votre connaissance des rouages de l’État. De ce fait, pouvez-vous dire au reste du monde en quoi l’écrivain Ahmed Wadaane Mahamoud a dérapé, que ça soit sur le fond ou sur la forme? Cette question vous est posée parce qu’un fou maudit spécialisé en injures et répondant au nom de Saïd Ahmed Saïd Ali, emporté par la haine, l’ignorance, l’inculture et dégoulinant d’obséquiosité servile envers son maître lui-même ignorant et inculte, se met à dénigrer le talentueux Ahmed Wadaane Mahamoud. Dans le charivari honteux de Saïd Ahmed Saïd Ali, on retrouve les conneries suivantes: «Quelqu’un de charitable peut-il m’aider à comprendre cette phrase car mon français s’y casse les dents: “Les hautes fonctions du Président Azali s’envolent peu à peu devant la disparition rapide d’AB Aviation et d’Int’Air Iles”. […]. Cette perle a pourtant été pondue par un “ancien candidat aux présidentielles” des Comores, vous savez, celui du fameux zéro virgule quelque chose pour cent. Si, en plus de ce score, c’est ce français “façon-la” qu’il utilise dans les nombreux ouvrages qu’il publie, le best-seller est vraiment loin et je comprends qu’il n’aie jamais remporté de succès littéraire non plus».

Comme toujours, le texte d’Ahmed Wadaane Mahamoud est merveilleux dans le fond et dans la forme, tandis que celui du fou furieux de Ntsoudjni est un tissu d’inepties et de cochonneries. Je vais souvent dans les librairies spécialisées sur l’Afrique et l’océan Indien, et je ne me souviens pas avoir vu un jour le livre d’un Saïd Ahmed Saïd Ali, et si ce livre existe, que «quelqu’un de charitable» m’aide à le localiser. De la même manière, je lis toutes sortes de livres sur les Comores, et je n’ai jamais entendu parler d’un critique littéraire appelé Saïd Ahmed Saïd Ali. Or, aujourd’hui, cet inculte mendiant dénigre l’un des 3 ou 5 meilleurs locuteurs de la langue française aux Comores au lieu dire à son chef, le soliste Azali Assoumani, d’aller apprendre le français. Oui, pourquoi cet individu ne s’occupe pas du niveau de français dramatiquement bas de son chef au lieu de verser des larmes de crocodile sur l’excellent niveau de français d’un intellectuel qui n’a plus rien à démontrer?

Le pauvre chéri! Allez dire à cet inculte que les livres appartiennent à plusieurs catégories: essais, romans, nouvelles, contes, etc. Généralement, c’est dans la catégorie des romans et des nouvelles (textes nés de l’imagination et dans lesquels on peut tout écrire) qu’on repère un best-seller. L’essai (texte entièrement fondé sur la réalité et sur lequel est exigée une extrême rigueur) ne se prête que très rarement aux prix littéraires. Or, Ahmed Wadaane Mahamoud n’est ni romancier, ni nouvelliste, mais essayiste. Il a choisi le domaine le plus ingrat de la littérature. De même, l’ignorant Saïd Ahmed Saïd Ali doit savoir qu’en matière de livres, souvent le marketing et le nom de l’auteur l’emportent sur la teneur de l’écrit. Et puis, est-ce qu’il arrive à ce Saïd Ahmed Saïd Ali de lire? S’il lit, ça doit être les saloperies que publie son ennemi intime Msa Ali Djamal.

Quant à son score électoral en 2016, Ahmed Wadaane Mahamoud n’a pas à en rougir: n’ayant pas les moyens de mener une campagne électorale, et même très conscient de son incapacité à faire entendre sa voix, l’enfant de Mbéni s’était pourtant présenté au scrutin. Mais, pendant ce temps, où était Saïd Ahmed Saïd Ali? Il jouait à la mère maquerelle auprès de son chef. En grand seigneur, Ahmed Wadaane Mahamoud a décidé de ne pas se rabaisser au niveau méprisable du méprisable Saïd Ahmed Saïd Ali. Mais, les observateurs neutres peuvent demander au fou maudit de Ntsoudjini de balayer tout d’abord devant sa propre porte, et les vaches seront mieux gardées.

Par ARM

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Samedi 5 août 2017.


Partagez sur

Laisser un commentaire

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.