Assoumani Azali et Fazul vont tuer tous les Mohéliens
Ils ont planifié la mort de tout un peuple par coronavirus
Par ARM
Mohéli est en deuil. Les Mohéliens ont compris qu’ils ne vont pas échapper à une mort collective. Cette mort collective est planifiée. C’est donc un génocide: «Dans la présente Convention, le génocide s’entend de l’un quelconque des actes ci-après, commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel: a) Meurtre de membres du groupe; b) Atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe; c) Soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle; d) Mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe; e) Transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe» (Article 2 de la Convention pour la Prévention et la Répression du Crime de Génocide, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 9 décembre 1948).
On retrouve dans la démarche criminelle du virologue Assoumani Azali Boinaheri et de l’ancienne sage-femme accoucheuse (son vrai métier) Mohamed Saïd Fazul dit Babadi, semblant de «Gouverneur» de Mohéli, «l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux». Le groupe visé est la population de Mohéli. Exagération et pleurnicheries larmoyantes? Que nenni! Que nenni! Sinon, il faudra expliquer aux Mohéliens pourquoi les autorités disent que les Comores comptent «8 cas de coronavirus, dont 5 en Grande-Comore, et 3 Mohéli et aucun à Anjouan», mais n’attribuent que 300 lots de matériels à Mohéli, contre 1.200 à Anjouan et 1.800 à la Grande-Comore?
«Zéro cas» à Anjouan et 1200 lots de matériels, et «3 cas» à Mohéli pour 300 lots, là, la dictature prouve ouvertement qu’elle veut faire mourir toute la population de Mohéli, sans doute pour planter des bananiers à la place des maisons pour la consommation de la population des îles voisines. L’intention génocidaire portant sur l’extermination de tout le peuple de Mohéli est manifeste. Vraiment furieux, les Mohéliens se plaignent: «Mais, pourquoi ne reste-t-il pas chez lui au lieu de passer d’une île à une autre sans prouver l’utilité de ses voyages? Ici, à Mohéli, les blousons de protection n’existent que pour les patients qu’il faut admettre en service de réanimation, alors qu’il y a les autres patients. Les médecins et le personnel soignant ont peur du coronavirus car ils ne bénéficient d’aucune protection. Pendant ce temps, il voyage, alors que ses voyages n’apportent strictement rien. Il ne guérit personne. Ce sont les médecins et les infirmiers qui travaillent».
«Il», c’est le Docteur Assoumani Azali Boinaheri.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 11 mai 2020.
