Assoumani Azali en odeur de putréfaction chez les siens
Les villes et villages ne veulent pas le voir sur leurs terres
Par ARM
L’illustre ville de Ntsoudjini a tenu tête au mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Elle l’a déclaré indésirable dans ses murs et l’avait menacé du pire s’il s’entêtait à y ramener sa fraise. Finalement, le dictateur fou de Mitsoudjé n’a pas osé se rendre à Ntsoudjini. Peu de temps après, les villes de Koimbani-Oichili, au Nord, et Foumbouni, au Sud, ont décrété à leur tour ne pas souhaiter la venue sur leurs terres du chien enragé de Mitsoudjé. Au train où vont les choses, le bannissement du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri sera national et simultané. Dans la pure tradition comorienne, un tel bannissement tue. Personne ne lui a survécu. En même temps, une chose est frappante: le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri est tellement maudit qu’il n’est entouré que de zozos sans la moindre assise populaire chez eux. Pour preuve, Ntsoudjini est la ville d’origine de son Mufti-Cardinal maudit Saïd Toihir Saïd Maoulana et de son shakespearien également maudit Saïd Ali Saïd Ahmed, qui n’ont rien pu faire pour l’y faire inviter.
Il en est de même pour Koimbani-Oichili. Cette ville est censée être le foyer d’origine du berger Djaé Ahamada Chanfi dit Mna Djaé, «Le Petit et insignifiant Djaé», le «Conseiller diplomatique» du dictateur maudit de Mitsoudjé, le menteur qui disait être un «ancien Professeur des Universités en France», alors qu’il n’était qu’un professeur remplaçant de banlieues en région parisienne. Le berger Djaé Ahamada Chanfi, l’énergumène au «français manioc et façon-façon», est une nullité sociale à Koimbani-Oichili. Il n’est rien. Il n’est personne. Son nom ne parle à personne. C’est pour cela qu’il fait une fixation haineuse et mortelle sur Youssouf Boina, légitime descendant de la famille royale de la région Oichili, un cadre au discours civique très rodé, parlant un «français bon père de famille». Le berger Djaé Ahamada Chanfi est tellement complexé devant Youssouf Boina qu’il avait promis à votre site préféré un billet d’avion Paris-Hahaya et retour contre un article défavorable à Youssouf Boina, l’un des meilleurs fils des Comores. Pour toute réponse, il avait reçu un avertissement de ne plus jamais recommencer ses tentatives de corruption. Pauvre type! Quel bandit!
Nous voici à Foumbouni, ville qui a également banni le «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri de ses murs. C’est la ville d’origine de Bellou Magochi, dégoutant Directeur de son Cabinet chargé de la Défense. Considéré à juste titre comme un voleur de poules à Foumbouni, Bellou Magochi n’y vaut rien. Récemment, le flamboyant et prestigieux Hachim Saïd-Hassane Ben Saïd Hachim Ben Sultan Mouigni Mkou, dit Sultan Hachim, descendant de la noble Famille royale du Mbadjini, l’a couvert de ridicule et de honte en constituant une délégation de Foumbouni ayant présenté les condoléances des Comores à la France à la suite de la mort du Président Jacques Chirac, pendant que Bellou Magochi cherchait où voler l’argent du peuple comorien. Mais, le hasard n’a pas sa place dans la chose: le Sultan Hachim est le digne fils du glorieux et prestigieux Saïd Hassane Saïd Hachim, ancien Gouverneur de la Grande-Comore, ancien ministre et ancien Ambassadeur à Paris, devenu aujourd’hui un incontournable pilier sociopolitique dans des Comores en destruction. Le jour où le Président Ahmed Abdallah Abderemane avait commis l’impardonnable faute de se séparer de lui, il avait subi tellement de déboires qu’il avait reconnu dans un soupir: «Rien de ceci ne serait arrivé si Saïd Hassane Saïd Hachim était à mes côtés». La généalogie, ça compte…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 11 novembre 2019.
