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Assoumani Azali, dans le désarroi, se terre à Paris

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Assoumani Azali, dans le désarroi, se terre à Paris

Sa case brûle. Toute honte bue, il se cache chez autrui

Par ARM

       C’est un enseignement qui nous vient du Prophète Mohammed. Il est d’ailleurs très révélateur de constater que celui qui se fait appeler par pure complaisance démagogique Al Imam Al-Ghazali, en référence au célèbre théologien musulman, n’en sache rien: «Le voyage est une partie du châtiment; il vous empêche de manger, de boire et de dormir. Aussi, quand vous avez atteint le but de votre voyage, dépêchez-vous de retourner auprès des vôtres»: Cité par Abou Mouhiedine Al-Nawawy: Les Jardins de la Piété. Les Sources de la Tradition islamique (Recueil de hadith), Éditions Alif, Lyon, 1991, p. 277.

Il n’en a donc rien compris, le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Il avait une visite sans la moindre utilité à effectuer en France. Celle-ci est finie. Il devait rentrer «auprès des siens» dans son hameau de Mitsoudjé. Or, au lieu de cela, il s’incruste et se terre comme un rat à l’étranger. Sa sécurité n’est assurée que dans le périmètre de l’hôtel où il se terre. Au-delà, il assure lui-même sa sécurité. Du coup, Houmed Msaïdié Mdahoma et l’ancien berger Djaé Ahamada Chanfi se cachent. L’ancien berger Djaé Ahamada Chanfi a même éparpillé ses enfants entre différentes familles, pendant que Kiki a pris la fuite vers Moroni.

En réalité, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri a de sérieuses raisons de fuir les Comores. Son Bellou Magochi s’est fait interpeller à Foumbouni par des notables de la ville qui vivent en France, alors qu’il voulait se faire inviter à installer les chaises pour un Madjliss dans la capitale du Sud de la Grande-Comore. Sa seule réaction a été une suite de menaces d’emprisonnement et de mort.

Ce jeudi 25 juillet 2019, à Moroni Coulées-des-Laves, les escadrons de la mort de Kiki sont à la recherche des proches du jeune manifestant agressé sauvagement devant l’Ambassade des Comores à Paris par les affidés du dictateur fou de Mitsoudjé. Le motif? Ils étaient partis se venger sur des membres de la famille de Poti Mlanao, neveu et gendre du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri.

Et, ce n’est pas fini parce que les explosions nocturnes continuent à Anjouan, surtout à Ouani et à Mutsamudu. La dictature de Mitsoudjé a alors eu la malencontreuse idée de dépêcher la milice procéder à des arrestations sauvages à Barakani, village de l’ancien chef séparatiste Mohamed Bacar, et ce, dans les rangs des partisans de ce dernier.

Il y a aussi le fait que même la famille du bambochard Assoumani Azali Boinaheri est consciente de l’échec honteux que ce dernier vient de subir à Paris, même s’il a été reçu à l’Élysée. Désormais, la haine des Comoriens poursuit tout le clan Azali Boinaheri de Mitsoudjé, et ce dernier sait que nulle part sur Terre, il n’aura la considération de personne.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 25 juillet 2019.


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