Ahmed Ali Bazi, le ministre du Vin et de l’Ivrognerie
Saïd Abdou Salim, son secrétaire général, le pédéraste fou
Par ARM
Vive «l’émergence à l’horizon 2030», dans 7 ans donc, dans un pays entouré de l’océan mais qui ne produit pas un gramme de sel, un pays qui ne fabrique même pas un cure-dents, un pays incapable de fournir à sa population les fameuses «Mabawa», les ailes de poulets, son caviar, un pays incapable d’approvisionner cette population en riz, l’un de ses aliments sacrés. Naturellement, cette «émergence à l’horizon 2030» est un projet dont le concepteur, l’âme, l’architecte et le maître d’œuvre est censé être Ahmed Ali Bazi, le prétendu ministre de l’Économie, de l’Industrie, des Investissements, chargé de l’Intégration économique (Au secours! Au secours!). Déjà, l’appellation de «son» «ministère» pose problème: l’Industrie et les Investissements sont le cœur palpitant de l’Économie. Et puis, pourquoi un ministère qui gère à la fois l’Économie et l’Intégration économique? En un mot, un seul titre aurait suffi, au lieu de toute cette périphrase tropicale pittoresque: «Ministre de l’Économie», puisque toutes les autres choses se ramènent à l’Économie. Qu’on se le dise!
Mais, il y a pire.
Il y a pire.
Oui, il y a pire.
En effet, à la tête de ce prétendu ministère, on trouve un ivrogne aux nerfs brûlés par le vin, un «ministre» qui fait fuir l’alcool à la seule évocation de son nom: Ahmed Ali Bazi, de Ntsoudjini. Pour vraiment apprécier le degré d’ignorance, d’inculture, d’incompétence, d’incurie et de concussion de ce «ministre» des fariboles et billevesées que le dictateur Assoumani Azali Boinaheri lui attribue, il faut tout d’abord savoir qu’il n’a jamais été dans un établissement d’enseignement supérieur, encore moins dans une Université, encore moins dans une Faculté d’Économie. Plus cocasse encore, il puise son «intelligence économique» dans les bouteilles de vin qui sont partout dans son bureau, y compris dans les toilettes, où il est impossible de faire pipi sans tomber sur une dame-jeanne d’alcool et des canettes de bière. Allons bon… Pourtant, les gens veulent faire pipi, quand même.
Le fameux secrétaire général
Pis, le ministère dit de l’Économie, de l’Industrie et des Investissements chargé de l’Intégration économique (Ouf! Ouf!), a une «chance» exceptionnelle, universelle, voire extraterrestre: son secrétaire général est un fou furieux, un fou maudit au nom de Saïd Abdou Salime. C’est son droit, et personne ne s’en moque: il porte encore les stigmates des 2 années qu’il a passées dans un hôpital psychiatrique dans les années 1990. Les Comoriens compatissent pour cette pathologie, mais pas pour ses crimes. Il est un grand voleur, et est très corrompu comme son «ministre». Son homosexualité ne regarde que lui-même, mais elle a la fâcheuse tendance d’influer sur le ministère de la Négation de l’Économie, de la désindustrialisation, du Désinvestissement chargé de la Désintégration économique. Son goût pour les garçons très jeunes n’a d’égal que son goût pour l’ivrognerie. Vie privée? Tu parles!
Comme le prétendu ministre est un grand ivrogne qui n’a ni compétence technique, ni savoir-faire politique, Saïd Abdou Salime veut faire croire qu’il est un «grand technicien», alors qu’il s’invente des Facultés et des Universités où il prétend avoir fait ses prétendues études supérieures et «obtenu» ses prétendus diplômes. Quel pays, tout de même.
Dès lors, «le ministère» tout entier (comme le pays lui-même) se trouve aujourd’hui dans l’impasse totale. Les réseaux sociaux ont dénoncé à plusieurs reprises le couple maudit formé par le ministre ivrogne, incompétent et corrompu et le secrétaire général traînant les mêmes malédictions en plus de sa belle pédérastie, des gens incapables de proposer une solution face à la crise économique qui frappe de plein fouet un pays à terre.
Vive «l’émergence à l’horizon 2030»!
Vive la présidence de l’Union africaine à Mitsoudjé!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 7 mars 2023.
