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Le soldat comorien tue pour 50 euros et un kg de riz

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Le soldat comorien tue pour 50 euros et un kg de riz

Il tue son frère pour satisfaire les caprices du dictateur

Par Halifa Zoubert

       Je vomis, je crache. J’ai la nausée, une nausée causée par nos foireux et prétendus soldats de l’Armée nationale d’un prétendu Développement dont on ne sait de quoi. Développement de quoi, s’il-vous-plaît? Comment est-il admissible que 99,99% de nos prétendus soldats «travaillent» en marge de la hiérarchie militaire, se laissent manipuler, malmener, et acceptent d’être accros, maniaques, subalternes et exécuteurs de basses œuvres d’une minorité de racailles affublées du titre d’officiers? En réalité, le mort-vivant Azali Assoumani et sa bande de voyous détruisent le pays, avec ces soldats foireux qui n’ont ni conscience, ni déontologie, ni amour de la patrie. Ces bidasses et troufions corvéables à souhait sont dans une servilité aberrante, dans l’obséquiosité la plus servile, et courbent l’échine dans l’espoir d’avoir un kg de riz pour porc de l’ONICOR, tandis que leurs maîtres à «penser et à panser» sirotent et font la fiesta et la nouba à coups des millions de francs comoriens volés au peuple comorien par le «seigneur saignant», le maudit planétaire, le mort-vivant Azali Assoumani, pour son assurance-vie dans le cadre de sa «folie émergente à horizon 2030».

Quand est-ce que ce troupeau de moutons portant des uniformes de vauriens se réveillera, fera usage de sa raison et prendra conscience de son ignoble et abominable existence? Il paraît, et c’est sous le manteau que ça se dit, que les récentes nominations des «Députés» ont allumé le feu chez certains subalternes de l’Armée des bidasses et des troufions. Certains officiers foireux ont reçu des millions de francs comoriens pour une prétendue sécurisation d’élections qui n’ont pas lieu, et n’ont pas eu le cœur de faire sentir ne serait-ce que l’odeur de cet argent à leurs petits soldats. La chose fait jaser bon nombre de petits soldats qui commencent peu à peu à comprendre qu’ils sont truandés.

Les officiers encaissent le pactole et les soldats font le sale boulot. Telle est la réalité du petit soldat vivant en marge de la hiérarchie militaire comorienne. Alors, peut-on espérer une division de cette Armée de bouffeurs de riz pour porcs? Seule la survie du mort-vivant Azali Assoumani nous le dira. Nous sommes nombreux à vouloir chasser de nos esprits l’image entièrement négative des soldats comoriens «Nayilé Yilalé» et «Maya Bouré», respectivement «Que ça mange et que ça dorme» et «Ceux qui mangent pour ne rien faire». Auront-ils le courage et la détermination de consulter leur conscience afin de mettre fin à la folie du mort-vivant Azali Assoumani? L’espoir est faible, mais nous continuerons à leur dire qu’ils ne valent rien. Leur existence est semblable à celle d’esclaves consentants.

Par Halifa Zoubert

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© www.lemohelien.com – Mercredi 29 janvier 2020.


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