Saïd Bacar a bien, en Droit, le droit de publier son livre
S’il demande mon aide, je serai honoré de la lui apporter
Par ARM
Anziza ou Hadidja Aboubacar, épouse Ikililou Dhoinine, doit savoir ce qui suit:
1.- Si, malgré les tentatives d’intimidation, les abus faits du Coran (la Parole incréée, explicite, inaltérable et éternelle de Dieu), les menaces (dont la sorcellerie), les injures, les insultes, les calomnies, les accusations mensongères, vulgaires et grossières, les pressions et le harcèlement, je tiens toujours tête à l’inculture et à la haine, sans rien céder, ni renier mes convictions, c’est parce que j’en suis imperméable. Ça ne m’intéresse pas, ça ne me touche pas. On peut m’accuser de tout, m’insulter, me calomnier, m’injurier, me menacer, tenter de m’intimider, tenter d’exercer des pressions sur moi que cela ne m’intéresse pas. Je m’en fous! Ne le fait-on pas depuis 2001, année de parution de mon premier livre, et ne suis-pas resté ferme sur mes convictions? Pour m’empêcher de m’exprimer, il n’y a qu’une solution: me tuer.
2.- J’ai en ma possession l’enregistrement audio dans lequel Mme Paouni me racontait par le menu, avec gourmandise et sadisme, telle affaire dans laquelle on retrouve du «Chiromani» et un liquide. Quand Mme Paouni, témoin oculaire, avait lancé cette affaire à la figure d’Anziza Aboubacar, celle-ci avait tenté d’acheter son silence par un billet d’avion pour un voyage Paris-Hahaya-Paris et par une forte somme d’argent. Je me réserve le droit d’en faire un usage audiovisuel public mondial, et chacun devra, en ce moment-là, assumer ses responsabilités. Ce n’est pas une menace, mais un fait. Quand j’en ferai usage, ça se saura…
3.- Je me réserve le droit de faire un usage public de deux documents en ma possession.
4.- Saïd Bacar, demi-frère d’Ikiliou Dhoinine, en citoyen libre vivant dans un pays libre, a le droit de rédiger et faire publier son livre intitulé La Sorcière de Satan. Intrigues de sérail aux Comores, et ce, pour dénoncer les dérives hallucinantes et folles d’un régime politique entre les mains inexpertes d’ignorants arrogants et narcissiques qui avaient réussi la gageure de se convaincre qu’ils étaient devenus immortels et au-dessus de l’humanité entière.
5.- Si Saïd Bacar sollicite mes conseils techniques et mon aide documentaire pour la rédaction et la publication de son livre, il l’aura totalement, entièrement, sans la moindre réserve, ni contrepartie.
6.- Les témoignages déjà apportés à Saïd Bacar par d’anciens et anciennes complices d’Anziza Aboubacar sont très éloquents et très instructifs, à un moment où le déballage public sur certains aspects de leur connivence passée se fait devant le juge.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 24 septembre 2022.
