Viol en famille et inceste en tribu chez Assoumani Azali
Mouigni Baraka fait la pute pour avoir un poste de ministre
Par ARM
C’est l’agitation totale autour du poète électoral divin Assoumani Azali Boinaheri. C’est l’agitation fébrile. Partout, le feu brûle. Entre les partisans de Kiki et ceux d’Abdoulfattah Saïd Mohamed, deux anciens complices, c’est l’incendie au kérosène. La guéguerre est devenue la guerre. Kiki manœuvre pour être reconduit à son poste de ministrillon pendant que l’horrible gorille Bellou Magochi, Directeur du Cabinet du dictateur chargé de la Défense, lui glisse des peaux de bananes. Entre les ministrillons Houmed Msaïdié Mdahoma et Saïd Ali Saïd Cheyhane, rien ne va. Les ministrillons Mohamed Houssein Djamalaïli et Kiki ne cessent de se tancer et de se toiser. Il se murmure, se susurre, se chuchote et se dit sous le manteau qu’un remaniement ministériel est imminent, et cela accroît la gesticulation dramatique, l’agitation et la frénésie. Les proches du dictateur fou de Mitsoudjé suggèrent à leur chef de renvoyer tous les brigands qui sont à ses côtés et de donner un second souffle à sa tyrannie.
La chose finit par atterrir dans les oreilles décollées du boulanger Mouigni Baraka fils de Saïd Soilihi. Comme le boulanger Mouigni Baraka fils de Saïd Soilihi est un garçon sans principes, ni convictions, ni honneur, ni dignité, il dépêche chaque jour à-tout-va des émissaires à Bête-Salam pour quémander un poste de ministre. Toute honte bue, le boulanger Mouigni Baraka fils de Saïd Soilihi est résolu à être nommé ministre nolens volens, prétextant pouvoir ramener le danseur divin Assoumani Azali Boinaheri à de bonnes dispositions républicaines et démocratiques. Il fait rire, le pauvre chéri. Alors, chéri doudou, tu veux du lait? Maman va te donner le sein et le biberon. Sans coronavirus…
Pis, des affaires de gros sous alimentent le climat de fin de règne qui prévaut autour de la finissante dictature tribale de Mitsoudjé. Le baby-sitter Saïd Ali Saïd Cheyhane a attribué à une société tanzanienne proche de Mohamed Elamine et Kamaldine Souef de Mitsoudjé, cousins du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, un marché de route secondaire à Moroni-Djomani, sans appel d’offres, sans que Baguiri Chabouhane, le prétendu ministrillon de tutelle n’en soit informé. Arguant du fait que cette société ne construit pas la route dans les normes, le ministrillon Chabouhane Baguiri, appuyé en sous-main par Bellou Magochi, fait des injonctions au baby-sitter Saïd Ali Saïd Cheyhane pour faire arrêter les travaux.
Enfin, le bien malheureux «Député» nommé a repris ses fonctions de Directeur de l’obscène MAMWÉ. Il entend bien continuer à téter sur les mamelles de la société morte, qui connaît, à cause de ses pratiques indécentes et malsaines, de difficultés encore plus graves actuellement.
Ollé, ollé!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 20 mars 2020.
