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Saïd Mohamed Sagaf, gendrocratie et vol de poules

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Saïd Mohamed Sagaf, gendrocratie et vol de poules

«L’Oncle des Assises» est resté un voleur sans honneur

Par ARM

      Cette fois, même les plus confiants disent que la seule solution qu’ont les Comores pour éteindre le feu allumé par les criminels de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé est un coup de force. Un coup d’État. Il faut chasser du pouvoir le plus vite possible le «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». La solution radicale s’impose avec d’autant plus d’urgence que cet individu a déjà lancé son projet devant faire de lui un Président à mort et jusqu’à ce que mort s’ensuive. Il faut entendre Bellou, grandiose spécialiste mondial des faux témoignages en faveur des voleurs comme Hamadi Idaroussi dit «Tonton-m’a-dit», parler de référendum constitutionnel pour comprendre que les Comores ont atteint le point de non-retour.

Pendant que les Comores s’enfoncent dans l’éclatement, les turpitudes du voleur de poules et chantre de la «gendrocratie» Saïd Mohamed Sagaf sont étalées sur la place publique. Voici un petit recensement de ses vols au sein du Comité de Pilotage des «Asseyez-vous et taisez-vous!» (CPAN):

«Détournement de fonds au CPAN.

Le bilan catastrophique du comité de pilotage des assises nationales (CPAN)

      Voici comment l’argent du CPAN a été détourné:

      – 60 millions donnés à la société de communication “TARTIB”, dont les responsables sont des proches de la famille SAGAF.

      – 30 millions pour le village des assises. Or la société CLAIRE VOYANCE n’a été payée que 3 millions (Chabane de la région de Mitsamihouli peut en témoigner). À savoir qu’au départ, SAGAF avait réclamé plus de 50 millions pour le village des assises.

      – 15 millions ont été versés à la société d’impression IMPREDOC de la famille SAGAF.

      – 2 voitures d’occasion dont une 4X4 et une fourgonnette ont été achetées directement à HADAD de Mitsamihouli, famille SAGAF, au prix du neuf.

      – La restauration et les boissons attribuées à la famille SAGAF.

      – Les millions envoyés à la diaspora ont été confiés à un cousin de SAGAF.

      – Cerise sur le gâteau, un conteneur est actuellement à la douane de Moroni en provenance de Chine rempli de tee-shirts des assises et des clés USB. Le marché a été attribué toujours à la famille SAGAF et ce dernier veut que le CPAN prenne en charge toutes les dépenses même si le conteneur est arrivé après les assises. 

      Le trésorier Zouboudou est successible d’être arrêté d’un instant à l’autre car il n’est toujours pas en mesure de justifier les dépenses faramineuses.

      L’ensemble des membres du CPAN refusent de se solidariser du bilan catastrophique car seul SAGAF et Zouboudou étaient les ordonnateurs de la comptabilité.

      Voilà comment SAGAF a réussi à détourner l’argent du CPAN.

      Nous vous livrerons d’autres informations prochainement».

On dit aux Comoriens: «Oh! Il ne faut pas parler de mal de Saïd Mohamed Sagaf car il est un Chérif, un descendant du Prophète, et un aristocrate de Mitsamiouli». Que c’est beau avec ces Nègres des tropiques autoproclamés «descendants du Prophète» uniquement parce que l’un de leurs ancêtres est né un vendredi. C’est à pleurer de colère.

Saïd Mohamed Sagaf était entré dans un frigidaire depuis la chute d’Ali Soilihi (il était le Gouverneur d’Ali Soilihi à Mohéli et a cautionné et couvert tous les crimes contre l’humanité d’Ali Soilihi à Mohéli), et c’est Saïd Mohamed Djohar, dont il est le gendre, qui avait fait sortir sa momie de son sarcophage rempli de naphtaline et de formol. Dès sa sortie, il s’était spécialisé dans les vols les plus abjects, notamment celui du chèque émis par les Émirats Arabes Unis pour le paiement de la bourse de tous les étudiants comoriens à l’étranger. Pour commettre ce crime, il s’était associé au Consul honoraire des Comores à Marseille, qui allait être poursuivi en justice en France pour graves méfaits.

Dans une interview au journal gouvernemental Al-Watwan dit Al-WawaCelui qui pique», «fait démanger» ou «fait gratter»), il débite les fadaises et âneries les plus horribles, horrifiantes et insupportables pour tenter de se justifier et justifier des «Asseyez-vous et taisez-vous!» que rejettent tous les Comoriens sauf quelques hurluberlus et paltoquets: «Je tiens à saisir cette occasion pour remercier la population comorienne pour son adhésion au projet et sa tolérance». Où a-t-il vu «l’adhésion et la tolérance» des Comoriens face à un projet génocidaire destiné à satisfaire les lubies criminelles et liberticides d’une confrérie de malades mentaux et de voleurs?

Toute honte bue, ce voleur de poules ose parler de la réussite d’un projet mis en échec par le courage des Comoriens et la médiocrité crasse des «experts» autoproclamés et sans la moindre expertise: «Depuis le 13 novembre et l’investiture du Comité de pilotage des assises nationales (CPAN), nous avons abattu un travail reconnu aussi bien par la population que par les observateurs venus de l’extérieur. Avec les nombreux messages que je reçois, j’en déduis que le travail a été accompli avec sérieux et pragmatisme». Ce fou maudit a-t-il reçu mon message et celui de gens comme moi?

En parfait voleur de poules, il estime que les défections au sein du CPAN ne sont que du menu fretin de la part d’aigris et de grincheux, alors que le désaccord est d’ordre idéologique, déontologique, moral et politique: «Je regrette effectivement les défections dans la mesure où, tous les concernés avaient adhéré à l’idée d’organisation des assises. Toutefois, dès l’annonce de la mise en place du CPAN, les divergences se sont fait connaître, et des défections ont eu lieu. C’est en fonction des humeurs des uns et des autres car, j’estime que leurs arguments sont fallacieux. Nous avons réussi un travail colossal mais le point noir reste ces absences.». Les Comoriens sont très en colère d’apprendre de telles billevesées.

Il persiste dans les mêmes bêtises pour nier la vérité, la vérité qui a la taille d’un porte-avions traversant le Détroit d’Ormuz: «L’âge variait entre 23 et 70 ans, raison pour laquelle, les divergences et les oppositions d’idées peuvent être considérées comme normales dans un environnement aussi diversifié. Certains n’ont pas réussi à garder leur sang-froid et ont démissionné. Ce qui n’a tout de même pas empêché le déroulement des travaux. Nous avons tous eu des problèmes mais nous avons su garder le cap».

Quand on lui pose des questions sur sa gestion de voleur de cabris, il pousse des cris de vierge effarouchée: «Certains parlent d’opacité et de mauvaise gestion raison pour laquelle, j’ai dû faire appel au ministère des Finances pour me protéger. Un comptable public est donc venu pour assurer les opérations financières mais on attend le rapport financier. Au début des travaux, il y avait une pagaille dans toutes les commissions et pourtant ce que vous devez savoir, c’est qu’il n’y a pas eu de budget en tant que tel». Discours de voleur faux-cul. Il compte sur le ministère dirigé par le bandit et baby-sitter sans honneur Saïd Ali Saïd Chayhane, qui prostitue ce qu’il a de plus chère, pour faire carrière? C’est la fin des haricots.

Alors que les habitants et les Gouverneurs des trois îles rejettent cette immense foutaise, il a le culot de dire: «On ne peut pas affirmer que le CPAN a atteint tous ses objectifs mais avec 60% d’acquis, le temps de l’approfondissement, des analyses, des audits pour le redressage des sociétés d’État et de la gouvernance politique, économique et sociale est venu. Il faut des enquêtes pour les assassinats, les marchés publics, les détournements de fonds en pagaille, les actes de haute trahison entre autres. Il convient de tout mettre en lumière pour éventuellement sanctionner ou pardonner. Outre la volonté de connaître la vérité et de se réconcilier, j’ajoute la justice. “Vérité, justice et réconciliation” mais pour cela, il faut que chacun reconnaisse ses torts. Toutefois, il faut reconnaître que le plus important n’est pas de lancer une chasse aux sorcières mais plutôt d’aller vers le développement du pays».

Saïd Mohamed Sagaf crâne parce qu’il s’est fait des millions de francs comoriens sur le dos du peuple et n’a été d’aucune utilité. Il est impliqué dans de nombreuses saletés et ne sera jamais jugé. Il en est de même pour son chef, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. Comme la justice des hommes n’existe pas aux Comores, celle de Dieu fera la différence un jour. Quand on voit dans quelles saletés ceux qui ont ruiné les Comores finissent leur vie, on doit être confiant.

Le tour du fugitif international Hamada Madi Boléro viendra un jour, et ce jour-là, il tombera du gazon. Il se croit invincible, mais il tombera. Du gazon.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 15 février 2018.


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