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Ombudsman et médiateur, nouveaux dadas de Boléro

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Ombudsman et médiateur, nouveaux dadas de Boléro

L’ancien laborantin ne cesse de s’attribuer le meilleur rôle

Par ARM

       Comme il est culotté et le chantre du culot, le fraudeur électoral haineux et misanthrope, soutien à la dictature et fugitif international Hamada Madi Boléro se voit désormais en légaliste, et même en Ombudsman politique. «Ombudsman» est un terme suédois. Il désigne dans les démocraties scandinaves (et en Grande-Bretagne) une personnalité indépendante qui examine les plaintes des citoyens contre l’administration et qui intervient, en cas de nécessité, auprès de l’administration. En un mot, le fugitif international Hamada Madi Boléro se voit en médiateur chargé de «promouvoir la démocratie et l’État de Droit aux Comores». Devant les rares personnes qui ont encore le temps de l’écouter, il pontifie en ces termes: «J’ai pris de l’épaisseur et de la hauteur. Bon, je n’aurais pas été fâché du titre de ministre des Affaires étrangères lors de la formation du récent gouvernement. Mais, bon, je ne voulais pas entrer dans ce piège mortel. Le poste que je veux occuper n’est pas encore créé: le Médiateur de la République. Je veux être celui qui va réconcilier le pays, servir d’intermédiaire entre le pouvoir actuel et l’opposition. Je l’ai fait lors de la crise séparatiste d’Anjouan».

Le fugitif international Hamada Madi Boléro est un fieffé menteur. Il voulait être nommé ministre, et avait mobilisé les rares Comoriens qui le prennent encore au sérieux, tout comme il s’agenouillait devant ses maîtres Blancs, à qui il demandait une intercession auprès du dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri. Pour ce qui est du séparatisme anjouanais, il ne l’apaisait pas, mais versait du kérosène sur le feu. Dans ses prétendus Mémoires, il n’arrive même pas à cacher sa complaisance démagogique à l’égard des amis séparatistes. Il leur fournissait des armes, des munitions, de l’argent et des encouragements. En plus, son échec est d’autant plus visible que son maître, le dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri, a quitté le pouvoir le 26 mai 2006, sous les injures et les malédictions des Comoriens, mais il avait fallu un débarquement militaire, le 25 mars 2008, pour mettre un terme à l’aventure séparatiste à Anjouan. Enfin, compte tenu de sa complicité avec le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, sa médiation n’a aucune chance d’être acceptée par l’opposition. Il fut un temps, il crânait en prétendant qu’il était «le laborantin dans le laboratoire du Président Ikililou Dhoinine à Beït-Salam». S’il pouvait arrêter de prendre les Comoriens pour des imbéciles.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 12 octobre 2020.


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