Nour El Fatah, le fils d’Azali, a giflé le mendiant Boléro
Il a pourri son grand mariage, à Chouani, début novembre
Par ARM
Le fugitif international grand-comorien Hamada Madi Boléro, le prétendu «Conseiller diplomatique» du dictateur antisémite Assoumani Azali Boinaheri, va célébrer dans le mensonge, la cocufication, la duplicité et le double langage son grand mariage, chez lui, à Chouani, en Grande-Comore, avec l’argent volé au peuple comorien et celui offert par l’Algérie en vue de la rupture des relations officielles entre les Comores et le Maroc. On s’en fout. La chose aura lieu début novembre 2023. Alors qu’il se sent fier comme Artaban pour la célébration de son truc matrimonial à la sauce tomate, sur lequel les langues de vipère sont intarissables en révélations scabreuses, Monsieur Fils Nour El Fatah, fils de son père, le dictateur antisémite Assoumani Azali Boinaheri, et de sa mère, la dictatrice Ambari Darouèche, l’a giflé à lui arracher la tête à Bête-Salam, devant des témoins ravis, comme le faisaient les esclavagistes de leurs esclaves. Monsieur Fils Nour El Fatah n’a jamais caché son profond dégoût et son mépris pour le fugitif international grand-comorien Hamada Madi Boléro. Mais, comme ce dernier ignore la honte et la dignité, il se serre les fesses et avale couleuvre sur couleuvre. C’est le prix à payer pour la mendicité…
Par ARM
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