Moustadroine Abdou «jouissent» tous les contractuels
Le vil ivrogne a commencé son mandat tambour battant
Par ARM
Une triste et sale affaire. Mois de Maoulid 2019, les pique-assiettes, mendiants, visiteurs et solliciteurs du soir au sérail se retrouvèrent à Mitsoudjé, capitale de la dictature du couple maudit formé par le fou furieux Assoumani Azali Boinaheri et la kleptocrate Ambari Darouèche, prétendument pour des louanges panégyriques au Prophète Mohammed. En une telle circonstance, la lecture de chaque Chapitre de la belle et poétique biographie en arabe écrite par l’Indien Barzanji est attribuée à une personne différente. Les malheurs de la vie et la complaisance démagogique ont conduit les organisateurs de la cérémonie à demander à l’ivrogne notoire Moustadroine Abdou «Mafitsi» («Foutaises!») à tenter de lire le Chapitre «Abdatilillah Lianliya». Dégoutés et médusés profondément, les Comoriens assistèrent à un énorme scandale: l’ivrogne Moustadroine Abdou «Mafitsi» a été incapable de lire deux mots de la fameuse biographie. Les Comoriens vomirent pendant un mois, scandalisés à vie.
Une vidéo circulant actuellement sur les réseaux sociaux montre ce soulard pathologique essayer d’expliquer dans un français poussif et très approximatif l’absence d’un sentiment national chez les Comoriens, peuple accroché au poison de l’esprit régional et de l’insularité. C’était sa première déclaration officielle de «Président de l’Assemblée de l’Union des Comores». Un désastre. Les Comoriens sont plus dégoûtés à cause du sinistre branquignol.
Et le voilà le même buveur débauché Moustadroine Abdou «Mafitsi» dit «Abdatilillah Lianliya» qui, avant même d’avoir eu le temps de voir son nouveau bureau, a renvoyé 300 agents bénéficiant d’un contrat à durée indéterminée (CDI). Oui, ces contractuels avaient signé un CDI et non un contrat à durée déterminée (CDD), à renouvellement aléatoire. Le motif invoqué par «le biographe du Prophète Mohammed» est le suivant: plus de 95%/ des contractuels de l’Assemblée sont des Grand-Comoriens. Plus grave encore, les licenciés de l’Assemblée cumulent 18 mois d’arriérés de salaires au pays de «l’émergence à 2030».
Plus sale encore, le criminel Assoumani Azali Boinaheri provoque des haines inutiles en attribuant le faux perchoir à un Anjouanais alors qu’un Mohélien aurait dû avoir succédé à l’Anjouanais «Docteur Beau Gosse» Abdou Ousseine. Ne soyons donc pas étonnés en apprenant la colère des Mohéliens, qui ont un motif de plus de se rebeller contre la dictature de Mitsoudjé. Où est l’équilibre des îles? Naturellement, les Mohéliens ne sont pas de mauvaise humeur parce qu’ils auraient voulu que le microbe Chabouhane Baguiri devienne «Président de l’Assemblée de l’Union». Les Mohéliens ne se mobiliseront jamais pour un Anjouanais vivant de longue date dans un quartier d’Anjouanais à Mohéli et qui a atterri à l’Assemblée par la fraude électorale, la violence et la saleté qui sied à sa misérable personne.
Toujours est-il qu’aucun des trois voleurs abjects qui disent représenter les prétendues institutions de l’Union des Comores n’est Mohélien: le fou maudit Assoumani Azali Boinaheri est de Grande-Comore, l’obsédé sexuel Cheikh Salim (Cour suprême) est de Grande-Comore, et l’ivrogne anjouanais Moustadroine Abdou Mafitsi succède à «l’Anjouanais de l’argent n’a pas d’odeur» Abdou Ousseine.
Jouissent
Les Comoriens ricanent après avoir constaté que le secrétaire général de l’Assemblée est tellement nullissime qu’il a écrit «le personnel contractuel jouissent», en conjuguant le verbe jouir au pluriel, alors que «le personnel contractuel» est au singulier, au lieu de «le personnel contractuel jouit». C’est le début de «l’émergence à l’horizon 2030». Les Comores émergent.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 8 avril 2020.
