Mouigni Baraka pour un gouvernement de prostitution
Un gnangnan, fruit de sa complicité avec Assoumani Azali
Par ARM
Mouigni Baraka Saïd Soilihi, gabelou entré en politique par simple accident de l’Histoire et à la suite d’un mauvais aiguillage de celle-ci, est un faux et un fourbe. Il est mauvais comme la teigne. Acteur politique sans idéologie, ni constance, ni cohérence, il est un dangereux parasite. En mars 2015, alors que le vote du Bureau de l’Assemblée de l’Union des Comores avait provoqué de la boxe et du catch au sein du Parlement, en 24 heures, toute honte bue, il avait appartenu à 4 courants politiques différents. Depuis le 26 mai 2016, il fricote avec le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». C’est un secret de Polichinelle…
La mère maquerelle entre les deux voyous est le shakespearien Saïd Ali Saïd Ahmed, beau-frère de Mouigni Baraka Saïd Soilihi. Les deux lascars sont tous deux de Ntsoudjni. Mouigni Baraka Saïd Soilihi est l’espion du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri au sein de l’opposition. Il ne comprend toujours pas que les Comoriens se battent contre la dictature de Mitsoudjé non pas pour obtenir des places dans un gouvernement maudit, anticonstitutionnel et illégitime, mais pour chasser le dictateur du pouvoir, en l’assassinant, car le laisser en vie aurait été une regrettable aberration. Qu’on se le dise!
Mouigni Baraka Saïd Soilihi, sous la dictée de son maître, le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri, propose un gouvernement de prostitution antinationale et d’indignité antipatriotique. En réalité, le «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri a soufflé à son porteur de valises cette idée farfelue et saugrenue uniquement pour se faire réhabiliter, en cherchant à se faire passer pour un «bon démocrate», un dirigeant ouvert et tolérant, et de se donner un vernis de respectabilité, quand, partout à l’étranger, il pue comme une mouffette.
Mouigni Baraka Saïd Soilihi, qui s’est autoproclamé chef de l’opposition, ne cherche que les postes et de l’argent pour s’acheter des cabris pour piqueniquer, sans la moindre volonté d’en finir avec la dictature de Mitsoudjé. Contrairement à ce que préconise le complice notoire Mouigni Baraka Saïd Soilihi, les Comoriens ne veulent pas d’un gouvernement de prostitution antinationale et d’indignité antipatriotique, mais la mort pure et simple du dictateur fou qui les empêche de respirer. Alors, si Mouigni Baraka Saïd Soilihi veut jouer au matamore, qu’il aille officialiser son mariage incestueux avec le bambochard Assoumani Azali Boinaheri, mais sans essayer d’y entraîner la glorieuse opposition comorienne, qui n’est pas sa chose. Allez le lui dire…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 13 décembre 2019.
