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Les preuves sur la folie du tyran Azali s’accumulent trop

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Les preuves sur la folie du tyran Azali s’accumulent trop

Bagarre à la mosquée. Bourrades de mépris sur courtisans

Par ARM

       Depuis des années, votre site préféré, analysant objectivement et impartialement les faits, actes, gestes, attitudes et décisions du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, explique sans passion, ni haine, que ce dernier accomplit des actes d’un fou, des actes insusceptibles d’être commis par une personne saine de corps et d’esprit. Naturellement, quand le dictateur Assoumani Azali Boinaheri sera renversé et tué par ses tombeurs, à l’affût en ce moment, tels augures de la vie politique, sociale et médiatique des Comores iront de leurs couplets: «Je savais qu’il était fou. Son comportement était celui d’un fou. D’ailleurs, je le disais». Où? Quand? À qui? En tout état de cause, il y aura toujours «l’original inimitable» (Tibor Mende) et la pâle photocopie issue de la 36ème feuille de carbone. Qu’on se le dise!

Le Comorien est toujours fier de faire la prière du vendredi à midi dans son village ou sa ville et, il peut même prendre l’avion pour ce faire. Les Mohéliens de Bête-Salam sont des pourritures, mais le 30 octobre 2015, j’avais pris l’avion à Hahaya pour Mohéli avec le ministre Daroussi Allaoui, mon camarade de classe, de la 6ème à la Terminale. Il me dit qu’il priait toujours le vendredi à midi dans sa ville natale et d’origine de Fomboni. Moi-même, en arrivant à Mohéli le 21 octobre 2015, après 23 ans et un mois d’absence, on m’expliquait où je devais prier à Mohéli, en commençant par la Grande Mosquée du Vendredi de Djoiezi.

Chaque vendredi, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri se fait humilier dans les mosquées: les fidèles s’en vont à son entrée. L’autre jour, lors d’un mariage à Moroni, au moment où un Grand Notable de Moroni devait prononcer le discours final, appelé «Le Mot de remerciement», sans être invité à prendre la parole, il se jeta sur le micro, que notre père Saïd Hassane Saïd Hachim (que Dieu l’agrée dans Son Paradis) lui refusa. Ce fut la honte suprême, mais pas pour le dictateur fou de Mitsoudjé, qui ignore le mot «honte».

Ce vendredi 24 décembre 2021, il s’est invité à la mosquée de Mkazi. La population de la ville lui manifesta son rejet le plus méprisant dans cette belle mosquée, le hua, lui cria sa haine et sa détestation. En sortant de l’édifice religieux, le tyran de Mitsoudjé se mit à encourager la foule à crier sur lui, une façon de dire qu’il se moquait des habitants de Mkazi.

Le lendemain, samedi 25 décembre 2021, il arriva à Anjouan. À l’Aéroport d’Ouani, il bouscula par violentes bourrades un «religieux» défroqué et son «ministrillon» Djaffar Salim Allaoui, tous deux de Mutsamudu, spécialement recrutés contre leur frère Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, de Mutsamudu comme eux. Un geste aussi barbare n’a jamais été commis aux Comores en public auparavant. Les Comoriens en sont indignés. Mais, le «religieux» défroqué n’a pas volé son déshonneur. En effet, le jour où les habitants d’Ouani avaient refusé de laisser le dictateur mécréant Assoumani Azali Boinaheri «prier» dans l’une de leurs mosquées, c’est ce «religieux» corrompu qui l’avait invité dans une mosquée de Mutsamudu.

Quant à Djaffar Salim Allaoui, j’ai fait sa connaissance le mardi 30 septembre 1986 à Rabat, Maroc. Il m’avait précédé d’une année à l’École nationale d’Administration publique (ÉNAP) de Rabat. Je n’ai perdu son contact qu’en 2019. Sur notre vieille amitié, il me répétait: «Pour moi, l’amitié est une institution». On me dit qu’il ne répond plus aux appels de ceux qui l’ont vu nu, misérable, en exil. En 2016, il m’avait dit avoir refusé l’offre du fou furieux Assoumani Azali Boinaheri, qui lui avait proposé de devenir son colistier à Anjouan, le trouvant «nul et médiocre». Ce Djaffar Salim Allaoui-là, lors du séparatisme à Anjouan (16 février 1997 – 25 mars 2008), a incarné sa fierté anjouanaise dans l’intransigeance et le fanatisme. Le Djaffar Salim Allaoui que j’ai connu jadis n’aurait jamais accepté une bourrade honteuse en public sans signer sa démission à l’endroit même où il a été humilié. Mais, aujourd’hui, il vit dans le déshonneur. En tout cas, cette affaire de bourrades véhicule deux messages. 1.- Tous ceux qui ont fait confiance au dictateur fou furieux Assoumani Azali Boinaheri en paient le prix fort, dans le déshonneur, la privation de leurs droits et libertés, voire la mort et le deuil. 2.- Le dictateur Assoumani Azali Boinaheri est fou car commettant des actes que ne peut accomplir qu’un fou.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 27 décembre 2021.


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