• Home
  • /
  • actualite
  • /
  • L’encre a trop coulé, et le dictateur reste au pouvoir

L’encre a trop coulé, et le dictateur reste au pouvoir

Partagez sur

L’encre a trop coulé, et le dictateur reste au pouvoir

Un seul langage aura raison de ce dictateur: la violence!

Par Chanfi Ahamada

       Trop d’encre a coulé, trop de larmes sont versées. Pourtant, le mort-vivant Azali Assoumani respire toujours et tue. Alors, doit-on conclure que le mort-vivant Azali Assoumani est invincible par la puissante magie de son gourou, ou bien c’est par la lâcheté et le manque du courage de la part du soi-disant Comité national de Transition (CNT) des Comores installé en France, pour ne pas dire de l’opposition comorienne des lèche-bottes? J’ai comme l’impression que Monsieur Soilihi Mohamed Soilihi (SMS) perd son temps pour un faux espoir de sillonner le monde entier pour dénoncer les bavures du mort-vivant Azali Assoumani. C’est une perte du temps car le monde entier est déjà conscient des malheurs causés aux Comores par le mort-vivant Azali Assoumani. On sent l’indifférence de la communauté internationale envers le peuple comorien, opprimé par une bande de mafia. Le mort-vivant Azali Assoumani ne connaît qu’un seul langage: celui de la brutalité. Il est bien vrai qu’il est un peureux.

Le peuple comorien, pris en otage, a les yeux rivés sur la diaspora pour une lutte armée, pouvant éliminer ce virus d’Azali Assoumani. Mais, trop, c’est trop! Le peuple comorien commence à perdre espoir, et se sent oublié. Donc, j’aimerais bien lancer un vibrant appel à nos très chers compatriotes de la diaspora pour leur dire que, nous qui sommes restés aux Comores et qui subissons de plein fouet la foudre du mort-vivant Azali Assoumani avons besoin d’armes et d’une personne pour nous montrer comment charger celles-ci de balles et comment les utiliser. Ainsi, Azali Assoumani sera-t-il très vite éliminé physiquement et définitivement.

Sylvanus Olympio, premier Président du Togo, assassiné le 13 janvier 1963

Chaque jour qui passe, le mort-vivant Azali Assoumani mine encore et encore notre pays, et il faut l’arrêter. Il y a deux options sur table pour en finir avec Azali Assoumani:

1.- Il faut engager des mercenaires comme ce fut le cas auparavant, à l’âge d’or de Bob Denard.

2.- Il faut envisager également une autre possibilité, celle d’un ou d’une volontaire pour empoisonner le mort-vivant Azali Assoumani. Il se trouve d’ailleurs qu’il est trop gourmand, et mange tout ce qu’il ramasse par terre.

Voilà les deux options pouvant permettre d’en finir avec ce maudit Azali Assoumani afin que le peuple comorien puisse vivre en paix. Nous sommes nombreux à nous porter volontaires pour empoisonner ce mort-vivant. Donc, la balle est dans votre camp. Et si vous comptez chasser le mort-vivant Azali Assoumani par les blablas, les salamalecs, la langue de bois, et la diplomatie à la con, alors vous aurez à attendre trop longtemps.

Par Chanfi Ahamada

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Jeudi 16 janvier 2020.


Partagez sur

One Comment

  • Mgomri

    janvier 16, 2020 at 12:17

    JE SUIS D’ACCORD à 104 % ASSEZ DE BLABLAS. QUE CEUX QUI SONT REVOLtés par les assassinats perpétrés par FAKRI et AZALI LES ELIMINENT PHYSIQUEMENT ! Les conférences de presse et les suspensions d’aide n’intéressent pas le peuple comorien, meurtri.

    Répondre

Répondre à Mgomri Annuler la réponse

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.