Le Sida de la diaspora séropositive tue Monsieur gendre
Le gendre d’Armia Ahmed Ali, humilié, a dû démissionner
Par ARM
Telle belle-mère, tel gendre. Telle belle-mère, tel gendre, même dans la corruption pour soutenir une dictature de cuisine. Toute honte bue, Armia Ahmed Ali, Madame Belle-mère, se vautre chaque jour dans la fange à la Cour suprême de son maître, détruisant le Droit aux Comores, avalisant et soutenant sans la moindre gêne toutes les saletés et tous les crimes par lesquels le dictateur fou de Mitsoudjé pervertit le système juridique, constitutionnel et institutionnel des Comores, moyennant de l’argent sale et d’autres gâteries. Installé en France, son gendre soutient, comme sa belle-mère, les saloperies les plus dégueulasses du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Une affaire de famille. Une famille soutient un assassin.
Or, mentant comme il respire, Monsieur Gendre, qui vit en France, pays démocratique par excellence, défend et soutient un dictateur doublé d’un assassin et d’un fraudeur électoral, trouvant qu’il a été «élu démocratiquement» lors du scrutin qui n’a pas eu lieu le 24 mars 2019. Habitué à défendre de mauvaises causes, corrompu par la dictature, très mal inspiré, il a insulté, injurié, diffamé, vilipendé et maudit les Comoriens défendant courageusement l’État de Droit, la démocratie, et donc le primat du Droit dans leur pays d’origine. Il a créé sa sinistre Diaspora séropositive dans l’unique but de défendre un dictateur qui a assassiné des Comoriens notamment en 1992, 2018 et en 2019, et qui a tué l’État et le Droit aux Comores.
Or, sans qu’on ne lui demande l’heure, il se fend d’une vidéo de pleurnicheries larmoyantes et d’élucubrations pathétiques pour dire qu’il n’a jamais été payé et mandaté par le dictateur fou pour le défendre, et que, au nom de la nécessité de s’occuper de sa famille, après avoir été plongé dans le sida de la séropositivité de sa Diaspora séropositive, il démissionnait. En réalité, Monsieur Gendre a démissionné de sa Diaspora séropositive et sidéenne parce qu’il croyait que ses maîtres de Mitsoudjé le prenaient au sérieux, eux qui ont trahi tous ceux qui avaient eu la faiblesse de croire en leur dictateur fou. Il a pris la fuite parce que depuis quelques jours, les initiés savaient que Nour El Fatah, le fils de Bakapihi, l’avait humilié et lui avait réservé un traitement digne des chiens et des chacals. Blessé dans son amour-propre de larbin qui croyait être devenu important, il a démissionné. D’ailleurs, malgré ses mensonges éhontés, ce corrompu insultait les Comoriens parce que la dictature de Mitsoudjé le lui demandait et lui versait de l’argent. Les Trente Deniers de Judas.
En tout état de cause, s’il se convertissait à l’Islam, il découvrirait cette phrase magnifique du Prophète Mohammed: «Ma Communauté ne se mettra jamais d’accord sur une erreur». Monsieur Gendre mendie avec une poignée de farceurs comme lui, et il prétend avoir raison face à des milliers de Comoriens militant sincèrement pour leur pays. Il n’a même pas honte.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 23 décembre 2019.
