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«Le chien a été tué. Désormais, le cochon lui succède», dixit Abdel Hamid Kichk

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«Le chien a été tué. Désormais, le cochon lui succède», dixit Abdel Hamid Kichk

Djaé A. Chanfi remplace Hamada M. Boléro: C’est Hadj Moussa et Moussa Hadj

Par ARM

     Quand on monte dans un taxi en Égypte, on est souvent happé par l’explosion verbale des prêches enflammés et volcaniques du théologien Abdel Hamid Kichk (1933-1996). Des musulmans d’autres pays du monde et même d’Occident écoutent avec attention et délectation les prêches en feu et kérosène d’Abdel Hamid Kichk. Avant d’être tué en public, au cours d’une fête nationale, par ses propres soldats, le 6 octobre 1981, le Président Anouar El Sadate d’Égypte avait emprisonné Abdel Hamid Kichk, avant que celui-ci ne soit libéré par son successeur, le Général Mohamed Hosni Moubarak, en 1982. Commentant l’assassinat d’Anouar El Sadate, le Cheikh Abdel Hamid Kichk avait provoqué un immense scandale en disant: «Le chien a été tué. Désormais, le cochon lui succède».

     Eh bien! L’Histoire se répète, à la lumière de l’humiliant limogeage du fugitif international Hamada Madi Boléro et son remplacement également humiliant par l’ancien berger Djaé Ahamada Chanfi, qui devient désormais le Conseiller diplomatique auprès du satrape Assoumani Azali Boinaheri. C’est doublement dégradant pour le fugitif international Hamada Madi Boléro, le cher enfant de 61 ans, le pauvre chéri, parce que Djaé Ahamada Chanfi est son porteur de stylos et valises, son proxénète et mère maquerelle. Ce n’est pas bien…

Assoumani Azali Boinaheri et Hamada Madi Boléro

     1.- Le limogeage du fugitif international Hamada Madi Boléro est la conséquence directe de son amateurisme, légèreté, incompétence et maladresse, lui qui a été Directeur du Cabinet chargé de la Défense de deux Présidents de la République, Premier ministre, Président de la République par intérim, ministre de la Défense et secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI), qu’il voulait dissoudre, considérant qu’elle ne remplissait pas les conditions d’une organisation internationale à vocation régionale du fait qu’elle s’appelle Commission! Quel ignorant! Le fugitif international Hamada Madi Boléro paie sa lourde bêtise ayant consisté à renseigner en informations sensibles et injurieuses Abdou Salam Ibrahim Mpingo dit Bachar, un Grand-Comorien qui, de Tanzanie, révélait secret sur secret les affaires pas propres du satrape Assoumani Azali Boinaheri, son épouse et ses enfants.

     Il est un habitué du fait puisque, pour montrer qu’il sait, qu’il connaît, son imprudence le conduisait à des indiscrétions dangereuses, alors qu’il était Directeur du Cabinet chargé de la Défense du Président Ikililou Dhoinine. Cela l’avait exposé aux vives critiques d’un homme qu’il ne connaissait pas mais à qui il livrait au téléphone des secrets sensibles de la Présidence de la République. C’était le jeudi 17 juillet 2014, à Paris, au cours d’une conférence à laquelle j’assistais, à la Fondation Jean-Jaurès, sous la présidence du Docteur Paul Kananura, Président de l’Institut Nelson-Mandela, et après le mot de bienvenue prononcé par Gérard Fuchs, ex-Député, ex-Président de l’Office national de l’Immigration, ex-secrétaire international du Parti socialiste et alors Directeur du Secteur international de la Fondation Jean-Jaurès.

     Le fugitif international Hamada Madi Boléro, se croyait intouchable pour avoir été la soldat laboureur de l’immense et immonde fraude électorale à trois tours et à «104%» pour faire introniser le putschiste Assoumani Azali Boinaheri le 26 mai 2016, alors qu’il avait été éliminé dès le premier tour. Voilà un homme haineux, méchant, vantard, prétentieux («Je suis le meilleur spécialiste comorien en Droit international public, Relations internationales et Diplomatie», aime-t-il répéter), misanthrope, incapable de réunir des talents et compétences autour de lui, incapable d’aimer les autres, incapable de s’aimer lui-même, incapable d’avoir un entourage digne des fonctions qu’il a occupées, incapable d’attribuer une bourse d’études aux fils de la femme qui l’avait élevé à Djoiezi comme un fils, de 1976 à 1985, incapable de la moindre compassion et solidarité envers ceux et celles qui lui ont témoigné de la fraternité sincère, qui a laissé pourrir au Port de Moroni le conteneur venant d’Inde d’un Djoiezien qui ne lui a fait aucun mal, bref, un homme qui ne fait jamais le bien. D’ailleurs, à l’annonce de son limogeage, les animateurs des intrigues politiques et sociales à Poteau Central, Djoiezi, ont explosé de joie, beaucoup ricané et applaudi, se disant qu’on ne compatit pas quand il arrive des malheurs à un misanthrope.

     Le fugitif international Hamada Madi Boléro aime qui? Il n’aime personne. Il n’aime personne. Il n’a pas de cœur. Il n’est pas humain. Il est rejeté par Mohéli, l’île de sa mère, et par la Grande-Comore, l’île de son père. Il est né à Boingoma, Mohéli, mais se veut de Djoiezi, parce que c’est le foyer d’origine de sa mère. Il n’a aucun ami à Boigoma, et personne ne veut le voir à Djoiezi. Alors secrétaire général de la COI, alors qu’il se terrait à Djoiezi, les jeunes de Poteau Central ont cherché à le voir pour plaider la cause la cause absolument fondée et défendable de deux jeunes Mohéliens emprisonnés illégalement et injustement pour l’affaire des clous à l’aéroport de Mohéli en février 2018. Il a refusé de les recevoir.

     Avant d’être renvoyé de la Présidence de la République comme un chien galeux, le fugitif international Hamada Madi Boléro a subi l’humiliation d’une procédure d’instruction assorti d’un contrôle judiciaire. Le juge d’instruction l’avait convoqué pour la sale affaire de divulgation d’informations injurieuses sur ses chefs. Personne ne pleure son limogeage. Chose qui ne trompe pas, une de ses proches a dit à des Mohéliens: «Je sais que ses malheurs vous réjouissent». C’est bien. Mais, pourquoi? Que cette dame se pose la question de savoir pourquoi on déteste tant cette créature malfaisante. Dans le cadre de sa procédure judiciaire, il doit avoir pour Avocat Ali Abdou Elaniou, son rival sexuel auprès de telle veuve joyeuse. Suivez mon regard…

     2.- En ce qui concerne l’ancien berger Djaé Ahamada Chanfi, d’emblée, un constat s’impose: il n’est pas le meilleur fils des Comores, mais un vulgaire faussaire se réclamant de diplômes nés de son imagination et de la photocopieuse, un mythomane invétéré, un vieux soutier de la mendicité politique, bref, quelqu’un de pas bien. Il est détestable et détesté, haïssable et haï, méprisable et méprisé. Ancien enseignant remplaçant dans des Collèges difficiles de la Région parisienne, il s’autoproclame aux Comores «ancien Professeur des Universités en France». Son niveau de français est nullissime. Où a-t-il fait ses études supérieures et appris la langue française? Sa culture générale est inexistante. Il est nommé «Conseiller diplomatique» pour sa capacité à ramper comme un serpent, mais ne connaît même pas signification du mot «diplomatie». Il n’a aucune constance idéologique ou politique. Il monte sur tous les navires qui quittent le port, mange à tous les râteliers comme un rat. Il est mauvais. Il n’a pas de cœur. Il n’est pas humain. L’anthropologue Ibrahim Barwane nous apprend que dans certains cas, auprès du Président des Comores, il n’y a pas des «Conseillers», mais des «Cons à essayer». Le joyeux néologisme «Con à essayer» colle à la peau de Mna Djaé, Djaé le Minuscule, comme un gant. L’ancien berger Djaé Ahamada Chanfi est mauvais comme la teigne, la gale, Ebola, le sida, le coronavirus, le choléra et la peste réunis. Ne me demandez pas si je l’aime et l’apprécie.

     Pour paraphraser le fameux proverbe du Maroc, le fugitif international Hamada Madi Boléro et l’ancien berger Djaé Ahamada Chanfi, «c’est Hadj Moussa et Moussa Hadj». Chantre du Mal et de l’opprobre, chacun est pire que l’autre.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 31 juillet 2025.


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