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Injures publiques des grands guignols anjouanais du tyran

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Injures publiques des grands guignols anjouanais du tyran

Les chaouchs anjouanais d’Azali Assoumani insultent les gens

Par ARM

      Dans Son Saint Coran, Dieu rappelle au Prophète Mohammed les vertus d’une belle parole adressée à un être humain:

«Appelle les hommes dans le chemin de ton Seigneur, par la Sagesse et une belle exhortation; discute avec eux de la meilleure manière» (XVI, Les Abeilles, 125).

De la même manière, Dieu apprit au Prophète que c’est son bon comportement envers les autres qui allait inciter les peuples à le suivre et à s’engager dans la voie de l’Islam, et que la douceur valait mieux que la rudesse et les mauvaises manières:

«Tu as été doux à leur égard par une miséricorde de Dieu. Si tu avais été rude et dur de cœur, ils se seraient séparés de toi. […]» (III, La Famille de Imran, 159).

L’orientaliste William Montgomery Watt signale qu’«en mettant à exécution ses idées, Muhammad montra ses grands talents d’homme d’État. Sa perspicacité pleine de sagesse ne retenait que les aspects importants de tout événement et savait s’y concentrer. Il sentait le moment où les êtres étaient mûrs pour accepter une décision lorsque celle-ci leur était imposée avec une certaine pression de l’extérieur. […]. Muhammad avait aussi beaucoup de tact et un grand charme dans ses rapports avec les êtres et il savait aplanir les difficultés surgissant parmi ses fidèles»: William Montgomery Watt: Muhammad, in Encyclopédie générale de l’Islam. Des origines à l’Empire Ottoman, SIED, Genève et Lausanne, 1986, p. 76.

Cette douceur et cette tolérance dans le discours du Prophète Mohammed sont d’autant plus réelles que «le mot “paix” est cité dans plus d’une centaine de versets du Coran, tandis que le mot “guerre” et les versets qui en dérivent n’y sont mentionnés que dans six versets»: Sobhi Mahmassani: The principles of International Law in the light of Islamic doctrine, RCADI, 1966, tome I, volume 117, A. W. Sijthoff, Leyde, 1967, p. 282.

Dès lors, personne ne sera étonné d’apprendre que, «Mahomet, bien qu’il invite à l’Islam tous les hommes, en leur montrant que la juste voie est l’abandon à Dieu, comme l’a fait Abraham, n’exclut du paradis ni les Juifs ni les Chrétiens, ni même ceux qui trouvent Dieu par d’autres voies que les voies officielles. [¼]. Pour un fondateur de religion, c’est là une tolérance unique, que d’accepter au paradis les hommes des autres religions. La tolérance de Mahomet n’a été répétée dans l’Histoire par personne»: Virgil Gheorghiu: La vie de Mahomet, Librairie Plon, Presses Pocket, Paris, 1962, p. 206.

La tolérance… Cela s’appelle la tolérance.

Le Prophète Mohammed avait dit: «Après moi, faites comme moi». Comme le Prophète Mohammed était l’incarnation de la tolérance, il est demandé à tous les Musulmans du monde d’être tolérants. Être tolérant, c’est accepter l’autre. L’acceptation de l’autre est-elle admise par le régime politique comorien actuel? Non! Les Comores ont un fait un pas de géant, et ce, non pas pour aller vers la lumière et la tolérance, mais pour retourner vers le monolithisme et le régime politique de la pensée unique, quand toute tête qui pensait autrement était coupée et son porteur découpé en morceaux rangés dans des sacs en plastique déposés devant la demeure de sa famille. Depuis le 26 mai 2016, tous les acquis en matière de démocratisation ont été soufflés par une dictature familiale qui refuse d’écouter le Député Tocha Djohar quand il explique que le Roi Hassan II soignait ses opposants et rachetait leurs demeures familiales pour les leurs remettre quand elles étaient entre de tierces mains.

Aujourd’hui, si les Comores dans leur ensemble sont noyées dans l’intolérance, l’île d’Anjouan est tout simplement retournée à l’âge des pierres.

À Anjouan, le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Pakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», est allé chercher ses hommes de main et de bouche dans la fange et dans les poubelles. Les chaouchs anjouanais du tyran de Mitsoudjé ont un point commun: le manque d’éducation. Ils sont mal élevés. Tous! Dès qu’ils ouvrent la bouche, il se produit une catastrophe. Ils injurient, insultent et menacent. Aucun des Anjouanais au service du «saigneur» Azali Assoumani Boinaheri n’a appris comment parler aux gens.

En avril 2016, au moment de l’élection présidentielle, l’ivrogne Moustadroine Abdou, colistier du «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri à Anjouan, a fracassé les bureaux de vote et le matériel électoral, empêchant 11.500 électeurs (l0% des électeurs d’Anjouan) de se rendre aux urnes, dont une infime partie seulement sera autorisée à voter lors de la reprise partielle du scrutin à Anjouan en mai 2016. Par la suite, Moustadroine Abdou, devenu «Vice-président» de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, arrivera sans peine à se signaler régulièrement par des injures et des menaces publiques.

Il demanda publiquement à la population d’user de violence envers tous ceux qui auraient des divergences avec le régime politique actuel. Au cours du même discours de haine et de mépris, il demanda à tout opposant de s’exiler à Mayotte par «Kwassa Kwassa», les embarcations conduites par la mort. Il aurait fallu que les personnes présentes condamnent des propos aussi insupportables et condamnables. Or, ces personnes riaient comme des grenouilles, en signe de complicité. Elles approuvaient…

Jeudi 21 décembre 2017, une vidéo montre Mahmoud Salim Hafi, «ministre de la Jeunesse et des Sports», lors d’un événement communautaire à Moroni: «J’ai compris que je n’étais suis pas devant vous en tant que ministre de la Jeunesse et de la Culture, mais on m’a dit que, comme je suis originaire de Mutsamudu et que je me retrouve à Moroni, je devais prendre la parole. Le discours officiel sera prononcé par mon frère Elamine Souef. Ce que j’ai constaté, c’est que les autres, et ils sont présents, à l’instar de Msaïdié et du ministre Salim, quand ils veulent nous insulter, parlent des “imbéciles de Mutsamudu et des imbéciles de Moroni”. Alors, s’il faut être des imbéciles comme nous, soyons des imbéciles et des idiots. En retour, nous allons leur dire que les imbéciles de Mutsamudu et de Moroni sont plus intelligents que les plus intelligents de là-bas». Ces paroles sont très graves. Ici, on voit clairement Abdoulfattah Saïd Mohamed, ancien «parle-ment-taire» (2009-2015) rire aux éclats. Mais, qui ne riait pendant qu’un gamin mal élevé insultait les Comoriens? De Moroni, les Comoriens attendaient mieux que ce triste spectacle. Moroni n’est plus Moroni.

Un autre chaouch anjouanais du dictateur de Mitsoudjé se signale régulièrement par des écarts de comportement et de langage. Il s’agit de Kiki, l’ancien docker de Dunkerque. Cet individu est Anjouanais. Sa vraie mère est Anjouanaise. Il l’avait juste reniée pour une «mère» par laquelle il allait pourvoir acquérir la nationalité française frauduleusement. Il est devenu Français en se déclarant d’une fausse mère. Sur le registre de la mauvaise éducation, Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, fait ce qu’il y a de pire car il en vient aux mains, les injures ne lui suffisant plus. Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, pousse tellement loin la goujaterie qu’il va jusqu’à interdire toutes les manifestations ne parlant pas de «l’émergence à l’horizon 2030» et ne faisant pas l’apologie des assises de la haine et du mépris.

Le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri, l’acteur «politique» le plus imbu de sa personne aux Comores et le plus intolérant depuis 1989, ne condamne jamais les actes malheureux de ses roquets. Bien au contraire, il les cautionne, lui-même s’étant spécialisé dans les menaces et les injures publiques envers ceux qui n’approuvent pas sa destruction des Comores. Le peuple comorien est pris en otage dans son propre pays, et cette fois-ci, il ne s’agit pas de mercenaires étrangers, mais de mercenaires locaux.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 22 décembre 2017.


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