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Ibrahim Ali Mzimba fait manger du sable à Saïd Larifou

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Ibrahim Ali Mzimba fait manger du sable à Saïd Larifou

Il l’a judiciairement étrillé à la Cour d’Arbitrage des Comores

Par ARM

      Le mardi 28 novembre 2017 a été publié sur ce site l’article «Pourquoi Maître Ibrahim Ali Mzimba fait l’unanimité – Une question de dignité, d’honneur et de professionnalisme». Depuis, les témoignages reçus sur la messagerie électronique du site ont été nombreux et ont le don de se retrouver sur un point: Maître Ibrahim Ali Mzimba, Bâtonnier au Barreau de Moroni, exerce son métier d’avocat dans la discrétion professionnelle, dans le respect d’autrui, dans le respect de la déontologie, travaille dans la bonne entente avec les pouvoirs publics pour la bonne administration de la Justice, évite de mélanger politique et métier d’avocat, et travaille ses dossiers avec professionnalisme et conscience professionnelle pour que ses clients voient en lui le juriste consciencieux et dévoué qu’il est.

Dans le même article, il avait même été question de procéder à une petite comparaison avec Saïd Larifou, qui confond être avocat et faire des chichis et du flafla dans la rue et sur les médias. D’ailleurs, la Banque centrale des Comores (BCC) vient de rappeler à l’ordre le bavard de Foumbouni, qui se permettait des digressions criminelles dans le domaine de la Banque, où il n’a aucune compétence.

On peut dire que cet article a été prémonitoire parce que le correspondant de ce site à Moroni est catégorique: Maître Ibrahim Ali Mzimba vient de faire mordre la poussière et de faire manger du sable au manant Saïd Larifou dit RIDJA, du nom de son parti politique mort-né et enterré, dont il est le seul membre et le seul décideur. D’ailleurs, les Comoriens sont très en colère contre RIDJA à cause de sa manie consistant à faire des tartines sur Internet sur les affaires qu’il traite en Justice, tout en se montrant fort discret, voire effacé, quand il perd un procès.

Posons le décor.

Nous sommes en présence d’une affaire liée à la «citoyenneté économique» et dans laquelle se trouvent, d’un côté, la Banque fédérale du Commerce (BFC), Elias Youssef Wakim (vivant aux Émirats Arabes Unis), Fadi Georges Homsy (Liban), Al Kadami (Émirats Arabes Unis), Al Rami (Émirats Arabes Unis). Tout ce beau monde a pour avocat-conseil Saïd Larifou dit RIDJA.

De l’autre côté, on retrouve Son Altesse Cheikh Sabah Jaber Mubarak Al Sabah du Koweït, dont l’avocat-conseil est Maître Ibrahim Ali Mzimba.

En bien, à la grande satisfaction de son client, Maître Ibrahim Ali Mzimba a remporté cette affaire dont les enjeux se chiffrent à la somme de 10 millions d’euros, soit 5 milliards de francs comoriens.

Compte tenu du sérieux et de la crédibilité de notre correspondant à Moroni, nous n’avons aucune raison de douter de sa bonne foi. En plus, dans cette affaire, s’affrontaient deux conceptions diamétralement opposées du métier d’avocat. D’une part, Saïd Larifou incarne le bruit, les controverses, les mélanges de genres, la légèreté, le dilettantisme, l’amateurisme et la confusion entre la politique et le métier d’avocat. D’autre part, Maître Ibrahim Ali Mzimba personnifie la discrétion professionnelle totale, le professionnalisme et la conscience professionnelle. Un avocat qui travaille ses dossiers avec sérieux et abnégation est gagnant même quand il perd, parce qu’il a la satisfaction d’entendre de la bouche de son client ceci, avant le verdict: «Cher Maître, vous m’avez donné une entière satisfaction, quelle que soit l’issue à venir de ce procès».

Depuis longtemps, Maître Ibrahim Ali Mzimba a compris la pertinence de l’obligation de diligence envers ses clients. Sa force réside là-dessus, pendant qu’un Saïd Larifou se complaît dans la négligence. Et puis, si Son Altesse Cheikh Sabah Jaber Mubarak Al Sabah a choisi Maître Ibrahim Ali Mzimba pour le représenter dans cette affaire, c’est que tous les échos qu’il a recueillis au préalable sur l’enfant de Dembeni font état d’un avocat rigoureux et consciencieux. Il faut être vraiment aigri, grincheux et haineux pour ne pas admettre une telle vérité. Sans avoir à recourir à une certaine emphase et au discours dithyrambique et ampoulé, on pourrait dire que Maître Ibrahim Ali Mzimba incarne les Comores qui se couchent tard, se lèvent très tôt, et travaillent pour le bien commun, non seulement pour la réussite individuelle, mais également pour la réussite collective d’un État comorien qui attend beaucoup de ses enfants.

Nous attendons la confirmation de la sentence arbitrale pour la commenter. Elle fera école et va honorer une Justice comorienne, qui a vraiment besoin de redorer son blason.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 16 décembre 2017.


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