Fausseté et exagération, les 2 mamelles des politicards
Mensonges et fraudes, véritables enjeux de la mascarade
Par ARM
Msa Ali Djamal, héritier tropical autoproclamé du sociologue Pierre Bourdieu, dont il aime nasiller le concept de «capital culturel» afin d’afficher son détestable côté «comoricain», est un faux, un faussaire et un fieffé menteur. Toute honte bue, lors de l’élection de 2016, il avait été l’auteur d’une série de mensonges d’une très grande pauvreté intellectuelle et d’une très grande médiocrité professionnelle: des sondages imaginaires qui avaient été contredits point par point par la réalité des urnes, même après la grosse fraude électorale qui avait été organisée par les Mohéliens de Bête-Salam en faveur du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».
Aujourd’hui, les mensonges ont pris une autre dimension, à la suite de la mise en œuvre du fameux constat du grand sociologue marocain Mohamed Guessous: après la privatisation des entreprises publiques, on assiste à celle de la fraude électorale. Aux Comores, les secteurs les plus touchés par «la privatisation» sont la mauvaise foi politicienne et le mensonge politique. En effet, quand la mouvance présidentielle minoritaire arrive à réunir 500 personnes sur une place publique au prix de la menace, du chantage et de la corruption, elle en réclame 5.000. On l’aura compris: la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé multiplie ses chiffres par 10 ou 20. En son temps, Winston Churchill disait: «Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées».
On voit également des «opposants» faire dans l’exagération. L’un d’eux s’est même autoproclamé «candidat de la diaspora», alors que les Comoriens vivant en France n’ont organisé aucune élection pour le désigner comme étant leur candidat à la mascarade électorale en cours. Et comme si cela ne suffisait pas, voilà un autre candidat qui, de passage en France, dit qu’il «est soutenu par la diaspora». Nous le félicitons et lui demandons de répondre juste à une question: «La diaspora» qui «le soutient» est composée de combien de personnes. Dans la salle où ce candidat chanceux et sa «diaspora» sont réunis, on ne voit pas plus de 50 personnes.
Pendant que les «opposants» s’égarent dans les enfantillages, infantilismes et gamineries, Kiki parachève son dispositif de fraude électorale.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 11 mars 2019.
