Djaé Ahamada Chanfi croit survivre en tuant Kiki
Kiki a le béguin pour Mzimba, qui a le béguin pour lui
Par ARM
On a presque envie de rire. Figurez-vous qu’il veut garder sous le paillasson, le boisseau et le tapis déchiré de ses saletés sur la scène publique la triste et pathétique histoire qui remonte à sa condamnation par la Justice pour vols public d’argent au ministère de l’Éducation nationale, à l’époque de feu Mouzaoir Abdallah, sous la présidence éphémère de feu Mohamed Taki Abdoulkarim (1996-1998). Ce fut un retentissant scandale politique et financier l’ayant conduit à fuir les Comores comme un rat d’égouts. Il s’agit du berger Djaé Ahamada Chanfi dit «Mna Djaé» («Le minuscule et insignifiant Djaé»), «ministre de la Justice, des Affaires islamiques et de la Fonction publique, chargé des Droits de l’Homme, de la Transparence et des Administrations publiques» (Ouf! Ouf! Au secours! Au secours!). Il est chargé de préparer «un dossier» contre son «ami», l’ancien maître-nageur du côté du Havre et de Dunkerque, l’ancien «ministrillon» Kiki, devenu Français en se déclarant d’une fausse mère, ayant la nationalité française, celle-là.
Le Rapport du berger Djaé Ahamada Chanfi contre son «ami» Kiki, chantre mondial de la polyandrie, portera sur le dossier maudit de… «la citoyenneté économique», artificiellement, anticonstitutionnellement et ignominieusement monté de toutes pièces contre le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, et qui enrichit considérablement en ce moment même le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, sa famille biologique et ses sous-fifres, dont… Kiki et Fakri Mahmoud Mradabi, son successeur au ministère de l’Intérieur. C’est ça, «les amis» et «l’amitié»!
L’affaire devient encore plus pimentée parce que, pour tenter de redorer son blason ensanglanté de voleur ayant «réussi» la plus grande prouesse universelle de toute l’Histoire de l’humanité, celle consistant à «obtenir» le même jour son «Master 2» et son «Doctorat» «en Intelligence économique», sans même attendre au moins 3 ans, le voleur notoire Kiki s’agite frénétiquement à vouloir faire croire à son dictateur Assoumani Azali Boinaheri qu’il pourrait réussir avec l’autre faussaire comme lui, Ibrahim Ali Mzimba, le plus grand faussaire de l’Histoire des Comores, là où le fugitif international Hamada Madi Boléro a piteusement et lamentablement échoué en voulant entraîner l’opposition comorienne dans «le monologue des sourds» voulu par le dictateur de Mitsoudjé et maudit par le peuple comorien dans son ensemble.
Ne perdons pas de vue le fait que le faussaire Ibrahim Ali Mzimba (nouvellement marié à une gamine de 19 ans), sous les ordres de son chef, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, et avec l’argent volé au peuple comorien, avait organisé une conférence de presse bling-bling et très coûteuse mais entièrement bidon à l’endroit le plus cher de Paris et de France pour tenter de faire croire qu’il était contre le dictateur de Mitsoudjé (c’est ce que ce dernier lui avait demandé de le dire à Paris), mais avait le béguin pour le faussaire et voleur Kiki. Kiki aussi dit avoir le béguin pour Ibrahim Ali Mzimba. Et, comme par hasard, les faussaires Kiki et Ibrahim Ali Mzimba, qui n’ont aucune crédibilité auprès des Comoriens, tentent de dire aux Comoriens qu’ils sont les seuls à pouvoir faire cohabiter les loups et les agneaux, dans le cadre du «monologue des sourds». Allons bon!
En tout cas, le berger Djaé Ahamada Chanfi est chargé de «tuer» son «ami» Kiki.
Décidément, dans la basse-cour du dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri, c’est «plus voleur et menteur que moi, tu meurs!».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 11 décembre 2021.
