De la révolte au Stade de Malouzini à celle de la rue
Débordement au Stade, modèle du débordement final
Par ARM
Voici une vidéo qui nous montre que même sous la dictature de Mitsoudjé, les Comoriens peuvent se révolter. Sur ce film du Blog Mbadakomé du Mufti médiatique Toihir Abdou Kari, on voit des Comoriens défoncer des barrières, et vaincre les forces de l’ordre, spécialement chargées de l’oppression et de la répression, afin d’accéder au Stade de Malouzini lors d’un match de football de l’équipe nationale des Comores. Face à la marée humaine, les forces de la répression et de l’oppression ont été inactives. En plus, à la fin du match, le public a tout simplement envahi la pelouse et, une fois de plus, les forces de la répression et de l’oppression ont été dépassées par les événements. En d’autres termes, il est possible, aux Comores, de se révolter pour des billets d’entrée dans un stade où se joue un match de football mais impossible de se révolter contre un dictateur qui tue tout un pays. Eh bien! La révolte au Stade de Malouzini doit inspirer la révolte de rue contre le dictateur fou de Mitsoudjé. La révolte au Stade de Malouzini prouve que si les Comoriens envahissaient Bête-Salam pour tuer le satrape inculte de Mitsoudjé, l’Armée coloniale d’Oppression et de Répression des Comores serait incapable d’empêcher le renversement et l’assassinat du dictateur. Il est donc demandé aux combattants de la liberté aux Comores de préparer la chasse au dictateur en s’inspirant de cette révolte au stade.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 23 novembre 2019.
