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Damed Kamardine était l’épouse d’un épicier au Maroc

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Damed Kamardine était l’épouse d’un épicier au Maroc

Son infâme abandon de domicile conjugal l’a conduit au pire

Par ARM

       Damed Kamardine est pédé comme un phoque. Ce qu’il n’arrive toujours pas à comprendre et ce que les gens doivent savoir, c’est que c’est son droit absolu. Il doit vivre sa vie sans avoir à en rougir, car il s’agit de sa vie. Il n’a pas à se soucier du regard sévère et des commentaires acerbes et graveleux des esprits fanatiques, intolérants, zélés et haineux.

Au Maroc, Damed Kamardine avait un épicier pour époux. Dans ce pays, le nom habituel de l’épicier est «Oum Choukara», «Le porteur de sacoche», «Le propriétaire de la sacoche». Comme cet épicier était très amoureux de lui, il l’entretenait généreusement. Sa fuite clandestine et subreptice du Maroc a été un odieux abandon de domicile conjugal. Le pauvre épicier marocain en a souffert, en a pleuré à larmes chaudes. Très affecté, chaque fois qu’il voyait un étudiant comorien, il lui donnait 2 kg de riz, 5 boîtes de sardines à l’huile et 1 kg de sucre, et tout cela, pour pouvoir lui demander: «Est-ce que tu connais Damed? Comment vais-je faire pour le contacter? Je suis prêt à partir aux îles Comores pour le rechercher et le ramener ici». Le pauvre homme! La trahison de Damed Kamardine l’a littéralement tué.

Depuis qu’il est rentré aux Comores après sa fuite peu glorieuse du Maroc, les siens ont tout fait pour qu’il se marie, mais il a toujours refusé. Il n’aime pas les femmes, sauf pour leurs cadeaux. Damed Kamardine aime les bonnes et belles choses, surtout si c’est offert. Il aime les vêtements et les vins envoyés par ses pigeons de Paris et de Marseille, qu’il déplume sans vergogne. Il aime jouer avec les sentiments des femmes, pour leur soutirer davantage des biens et de l’argent. Généreux en serments insensés, il leur promet monts et merveilles.

Ses victimes, il les choisit en France. C’est un vrai prédateur. Il s’arrange toujours pour que toutes les semaines, une victime «fiancée» lui fasse parvenir des cadeaux de France. Ses pauvres «fiancées» ont toutes été flouées, trahies et abandonnées par Damed Kamardine. Il se comporte en vrai escroc. L’avant-dernière de ses victimes était une Anjouanaise, la pauvre! Cette pauvre femme avait tout laissé tomber en France pour Damed Kamardine. Elle a fini par retourner en France, déçue, amère et brisée. En effet, quand Damed Kamardine avait vu que la femme était vraiment sérieuse, il avait fui, Gros-Jean comme devant. La pauvre femme! Oui, désespérée, désemparée et morte de colère et de déception, la pauvre s’est résignée à retourner en France. Après elle, Damed Kamardine a fait une autre victime, en gigolo multirécidiviste.

Damed Kamardine n’ose pas assumer son homosexualité. Or, et on ne le dira jamais assez, il a le droit d’avoir l’orientation sexuelle qu’il veut. C’est son choix, sa vie. Il ne doit pas y avoir de honte sur le sujet. Il a le droit de faire ce qui lui apporte le bonheur, sans se soucier du regard des autres. Mais, il veut continuer à être un gigolo professionnel.

Par ailleurs, Damed Kamardine est un avocat notoirement incompétent et corrompu, mais efficace en escroquerie. Il s’est empêtré dans un conflit d’intérêts contre la BFC, la banque des Koweïtiens. N’est-il pas le complice et l’insulteur officiel d’Ibrahim Ali Mzimba, également compromis dans la même affaire? La BFC est placée sous tutelle de la Banque centrale des Comores (BFC) par le gouvernement à cause des agissements frauduleux et crapuleux de Christian Gourana.

Damed Kamardine, avec la complicité de certains, a fait condamner la BFC à payer à un certain Azad Dhomun, son client mauricien et ancien Directeur général de la même Banque, la coquette somme de cent cinquante millions de francs comoriens (150.000.000 KMF), soit 300.000 euros. Le Tout-Moroni est médusé. La dictature est au courant de cette condamnation frauduleuse, suite aux magouilles de Damed Kamardine, le donneur de leçons de morale, et consorts. Mais, comme il est ami et le chaouch d’Ibrahim Ali Mzimba, il a, avec ce dernier, une imagination fleurissante en escroquerie. Quant à Ibrahim Ali Mzimba, il a lui-même été coupable d’avoir créé, avec Christian Gourama, un autre ancien Directeur général de la BFC, des sociétés fictives, dans l’unique but de bénéficier de prêts frauduleux sans garanties, allant jusqu’à mettre en grande difficulté financière la BFC. Christian Gourana et Azad Dhomun, tous deux Mauriciens, ont pour amis et avocats, le couple maudit constitué d’Ibrahim Ali Mzimba et Damed Kamardine, deux malfaiteurs spécialisés dans l’escroquerie bancaire, avec la complicité du milieu judiciaire. Bon courage…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 30 avril 2021.


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