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Comme Halima, Saïd M. Dafiné a repris ses habitudes

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Comme Halima, Saïd M. Dafiné a repris ses habitudes

Le fraudeur ressuscite les morts et fait voter bien d’absents

Par ARM

     Saïd Mzé Dafiné n’est pas sortie de l’Académie mondiale de la Fraude électorale les mains vides. Bien au contraire, il a obtenu son Doctorat en Fraudes et Tripatouillages électoraux avec la Mention «Très Honorable», les Félicitations du Jury et le droit de publier sa Thèse sur «Le vote des morts et des absents sans procurations». Il a du métier, Saïd Mzé Dafiné. Il prétendait être un défenseur des droits de l’Homme, avant de se présenter sous son vrai visage, celui d’un fraudeur électoral vénal, corrompu, sans foi, ni Loi, vendant son âme au plus offrant, y compris à Satan. Déjà, sous le règne des Mohéliens de Bête-Salam, il s’était tellement fait signaler par les magouilles les plus dégueulasses qu’Ikililou Dhoinine l’avait limogé, oubliant que les sanctions devaient venir de la Commission nationale électorale «indépendante» (CÉNI), dont il est le secrétaire général. Le «Docteur 104%» Ahmed Mohamed Djaza et Saïd Mzé Dafiné constituent le couple le plus odieux au sein d’une même institution publique.

En 2016, Saïd Mzé Dafiné était tellement impliqué dans les saletés électorales qu’il était pourri d’argent sale. Le lundi 16 mai 2016, il était dans l’avion partant pour Paris, avec une petite valise remplie d’argent, un cadeau du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». De l’avion en phase de décollage, il avait envoyé un message à un proche dégoûté, parlant de «raisons familiales», pour justifier sa fuite vers Marseille.

Saïd Mzé Dafiné était impliqué dans le vote des morts et des absents sans procurations, surtout à Mitsoudjé et à Moidja-Hamahamet, dans la mise en circulation de faux documents de vote, dans le pervertissement des procès-verbaux, dans le remplacement des urnes. Son interlocuteur préféré était Mohamed Abdou Mbechezi, et à Anjouan, le 13 mai 2016, tout le monde l’a vu lui remettre des documents électoraux stratégiques destinés à la fraude en cours. C’est lui qui gérait les faux documents électoraux fabriqués à Madagascar et vendus à 22 millions de francs comoriens par un Mauricien au «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri.

Saïd Mzé Dafiné, qui travaille en étroite collaboration avec Bellou Magochi et Kiki, a repris du service, les poches de nouveau pleines d’argent. De l’argent sale. Cette fois-ci encore, il est dans son domaine de prédilection, après avoir préparé des cartes pour des milliers d’électeurs et d’électrices comoriens vivant à l’étranger, surtout en France. Ces cartes d’électeurs sont déjà distribuées. Saïd Mzé Dafiné a même choisi le pourcentage auquel doit être «élu» «dès le premier tour» le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, à savoir 54%, soit un chiffre qui se situe entre les 52% préconisés par son chef qu’est le «Docteur 104%» Ahmed Mohamed Djaza et les 56% de Kiki.

Il se pourrait que le lundi 25 mars 2019, Saïd Mzé Dafiné soit de nouveau dans un avion en direction de Paris «pour des raisons familiales», une valise pleine d’argent à la main. Les Trente Deniers de Judas. Il ne reste plus qu’à lui souhaiter un très bon voyage, et un très bon séjour à Marseille, où il a ses quartiers et ses habitudes.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 20 mars 2019.


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