Boléro fait sa magouille, Maoulida Mbaé en paie le prix
Boléro a organisé l’interview de l’Ambassadeur de Russie
Par ARM
Le règne des Mohéliens de Bête-Salam a non seulement permis au fugitif international Hamada Madi Boléro de s’enrichir illégalement et considérablement, notamment sur le dos de l’argent du Sultanat d’Oman pour la création de l’Unité des Garde-côtes, et de se faire nommer inutilement et en pure perte secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI), qu’il voulait dissoudre, et lui a permis aussi d’obtenir des nouveaux galons de malfaiteur. Parmi ces nouveaux galons, il y a le surnom hideux et lugubre de «Makridine», «Le Religieux de la Magouille». D’ailleurs, sur le tract historique, patriotique et anthologique «Kala Wa Dala» du 1er mai 2014, on lit: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha) [«Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20). Mention: Traître».
Un décret infâme
Eh bien, «Dracula», «le fantôme», «le caméléon», «l’escroc», «le menteur» et «le traître» réunis en un seul homme ont encore frappé. Cette fois, sa victime s’appelle Maoulida Mbaé, Directeur du journal gouvernemental Al-Watwan, qui vient d’être licencié. En effet, à l’instigation du fugitif international Hamada Madi Boléro (russophone, étudiant en Ukraine à l’époque soviétique), Al-Watwan a réalisé une interview avec Andrey Andreev, Ambassadeur de Russie aux Comores, avec résidence à Antananarivo, Madagascar. Le rôle qu’il a joué dans cette propagande permettant à la Russie de tenter de justifier son agression illégale (contre l’Ukraine) en Droit international public, destructrice pour l’économie du monde entier, et immorale au regard des pertes humaines et matérielles, relève des fonctions attribuées par la Russie au fugitif international Hamada Madi Boléro, un de ses prétendus agents d’influence en Afrique, quand l’intéressé est détesté, rejeté et exécré dans son propre pays à cause de son inhumanité, magouilles et propension au Mal. Il n’aime personne, et a une drôle de façon de s’aimer. Celui qui s’aime fait tout pour attirer les gens vers lui au lieu de les repousser.
C’est donc le fugitif Hamada Madi Boléro qu’il faut sanctionner et non Maoulida Mbaé. Mais, cela, personne ne le dira. «Grâce» au fugitif international Hamada Madi Boléro, la Russie fait sa propagande aux Comores. Au moment où le fugitif Hamada Madi Boléro fait ses magouilles (n’est-il pas «Makridine», «Le Religieux de la Magouille»?), alors que Maoulida Mbaé est sèchement licencié, il remue ciel et terre pour être nommé ministre des Affaires étrangères. La chose ne manque pas de piquant parce que, si, l’autre jour, lors de la première kleptocratie du dictateur Assoumani Azali Boinaheri (30 avril 1999 – 26 mai 2006), il avait trahi dans le slip et dans la chair son chef dans une suite d’hôtel de Dubaï, cette fois, il signera les documents pour son assassinat pur et simple. Les deux hommes se complètent dans le Mal, et le dictateur Assoumani Azali Boinaheri avait dit, le vendredi 15 janvier 2016, au Salon VIP de l’Aéroport international Jomo Kenyatta de Nairobi: «Je ne vous dirai pas qui est mon homme de confiance. Par contre, je vous dirais qui est celui en qui je n’aurai jamais confiance: Boléro». Ce dernier a fraudé de façon très sale, à «104%», «les élections» de 2016 en faveur du dictateur de Mitsoudjé, mais l’un finira par tuer l’autre: les deux truands du Hambou ne se retrouvent que dans le Mal.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 8 décembre 2022.
