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Boléro et Msaïdié vont devoir sauver le bordel de Mzimba

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Boléro et Msaïdié vont devoir sauver le bordel de Mzimba

Mzimba entraîne ses deux complices dans d’inexistantes injures

Par ARM

       Ibrahim Ali Mzimba est dans les bas-fonds de la médina du doute et de la désespérance. Il est désespéré, le faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba, faisant tout pour attirer l’attention sur lui, faisant tout pour se faire passer pour «une victime» parce que Maître Fahmi Saïd Ibrahim dit qu’il ne veut pas répondre à ses injures, insultes, accusations gratuites et haineuses, diffamations et autres propos malveillants. Pour lui, dans la mesure où il accuse injustement Maître Fahmi Saïd Ibrahim et croit pouvoir porter atteinte à son honneur et à sa dignité par des injures et des insultes, et comme ce dernier l’ignore superbement, dans un belle indifférence, il l’accuse de «mépris» et de le traiter de «merde». Ibrahim Ali Mzimba fait tout ce ramdam parce qu’il sait qu’il risque d’être gravement déshonoré bientôt. Oui, il a appris que, comme Bachar Kiwan a refusé de faire un faux témoignage contre le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, ses biens aux Comores vont être saisis. Or, Al Camar Lodge, le bordel d’Ibrahim Ali Mzimba, est l’un des biens de Bachar Kiwan aux Comores. Ce bordel risque donc d’être saisi, et le bordelier Ibrahim Ali Mzimba se retrouvera humilié et déshonoré à vie. Ça sera la seule fois de sa vie où il aura honte.

       Dès lors, il fait tout pour obtenir le soutien de ses complices que sont le fugitif international Hamada Madi Boléro et l’aboyeur public et insulteur officiel Houmed Msaïdié Mdahoma, en prétendant que Maître Fahmi Saïd Ibrahim les insulte également, ce qui est tout à fait faux. Dans la foulée, il paie des gens pour insulter Maître Fahmi Saïd Ibrahim et l’accuser de lancer des insultes sur et contre le fugitif international Hamada Madi Boléro et l’aboyeur public et insulteur officiel Houmed Msaïdié Mdahoma, afin d’obtenir leur soutien en tant que «personnes injuriées, calomniées, vilipendées et diffamées, obligées d’être solidaires dans l’adversité», le tout pour que ceux-ci plaident sa cause auprès de leur maître, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, afin qu’il puisse garder son bordel. Allons bon!

       Ne perdons pas de vue le fait que le faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba comptait sur la présence du dictateur Assoumani Azali Boinaheri à l’inauguration de son bordel, mais le tyran de Mitsoudjé n’avait pas daigné y assister. Ce fut tintin. Oui, tintin…

       Il faut connaître les mensonges, dont ceux d’une femme, que le faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba fait répandre sur Internet contre et sur Maître Fahmi Saïd Ibrahim, uniquement parce qu’il refuse de se rabaisser à des polémiques et controverses de bas étage, pour comprendre que le bordelier Ibrahim Mzimba est désespéré.

       Aujourd’hui, Ibrahim Ali Mzimba fait un foin du diable en se posant en défenseur du Droit et du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. La chose fait rire. Oui, Ibrahim Ali Mzimba a réussi par la triche à faire croire aux gogos de la bobocratie qu’il était l’Avocat du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, alors qu’il n’en est rien. Ce dernier ne l’a jamais constitué. Lorsque le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi a été placé injustement, anticonstitutionnellement et illégalement en résidence surveillée, puis poursuivi abusivement, Ibrahim Ali Mzimba, le Bâtonnier de l’époque, n’avait jamais levé le petit doigt pour dénoncer ces abus. Pis, il a légitimé la violation et la mise à mort de la Constitution, allant jusqu’à revendiquer la paternité de cette hérésie juridique de «Couroucourou», «la Cour suprême» de Papa. Il a soutenu la mise à mort de ce qu’il appelle dédaigneusement «cette Cour constitutionnelle de merde» et avait traîné «son» Barreau auprès du dictateur de Mitsoudjé pour le féliciter quand il avait fait adopter par la force et dans le sang «la non-Constitution de la main coupée et de la mort».

       En réalité, cette gesticulation dramatique n’a qu’un seul objectif: «Les élections» de 2024. Ibrahim Ali Mzimba pense que l’électorat du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi ira vers lui s’il continue à soutenir par l’absurde que la libération de ce dernier est possible par «le principe du fait de prince» (le fait du prince n’a jamais été un principe), mais que Maître Fahmi Saïd Ibrahim «s’y oppose». Ibrahim Ali Mzimba veut faire croire aux masses populaires qu’il travaillerait à «la libération» du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, pendant que Maître Fahmi Saïd Ibrahim «s’y opposerait». Il ment tellement qu’il a réussi à se convaincre de la véracité de ses propres mensonges… Gravissime…

       Ibrahim Ali Mzimba doit savoir que l’Histoire donne la possibilité, clés en mains, aux grands Hommes pour ouvrir sa porte et y entrer. Mais, les pauvres types (qu’il ne faut confondre avec les types pauvres), malgré le fait d’être en détention de la clé, préfèrent y entrer par effraction, par la fenêtre, et y sont toujours repoussés. Ils n’ont pas leur place dans l’Histoire. Les grands Bâtonniers de l’Histoire des Barreaux du monde entier ne ratent jamais l’occasion d’entrer dans l’Histoire en s’opposant à l’arbitraire chaque fois que l’opportunité historique se présente. Plus que l’Avocat ordinaire, le Bâtonnier incarne et doit défendre les valeurs du noble métier d’Avocat.

       Quand j’étais inscrit à l’École professionnelle des Barreaux de la Cour d’Appel de Paris (ÉFB), le Bâtonnier de Paris était Pierre Olivier Sur, qui avait fait un discours flamboyant le jour de notre Premier Serment, et avait animé deux séminaires à notre profit. Ce grand professionnel du Droit avait été en mission aux Comores à l’époque où Ibrahim Ali Mzimba était Bâtonnier. Quel contraste entre un défenseur du Droit venu de France et un imposteur qui enfume les masses populaires aux Comores!

       Ibrahim Ali Mzimba doit savoir également que le Bâtonnier doit en toute circonstance se montrer capable de s’ériger en barrière contre l’arbitraire et contre les atteintes graves aux droits de l’Homme. Cependant, Ibrahim Ali Mzimba a choisi de défendre la mise à mort de la Constitution et des institutions, et s’était obstinément tu en sa qualité de Bâtonnier lorsque le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi avait commencé à subir l’arbitraire sous ses yeux. Il y a eu concomitance de ces faits historiques. Il tente aujourd’hui, pour des petits calculs mesquins, de rentrer dans l’Histoire, mais par effraction et par la fenêtre. L’Histoire ricane et se moque de lui, lui qui a choisi de l’insulter. À chacun son destin.

       Le fugitif international Hamada Madi Boléro et l’aboyeur public et insulteur officiel Houmed Msaïdié Mdahoma feront tout pour sauver le bordel de leur complice, en attendant que Damed Kamardine, maître de cérémonies du bordel, reporter Tintin de son maître pour mentir contre de l’argent sale sans reportage, y mettra son grain de sel. Justement, que devient Damed Kamardine depuis qu’il a constaté que Maître Fahmi Saïd Ibrahim n’a jamais été accusé de trafic de passeports et de fonctions officielles, alors que son chef Ibrahim Ali Mzimba lui versait de l’argent sale de la prostitution, du bordel et du proxénétisme pour tenter de salir – sans y arriver – Maître Fahmi Saïd Ibrahim? Qu’il donne de ses nouvelles et s’explique sur le sujet.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 2 décembre 2022.


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