Azali et Mouigni Baraka officialisent leurs fiançailles

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Azali et Mouigni Baraka officialisent leurs fiançailles

Leur prétendu «dialogue» doit préparer leur lune de miel

Par ARM

Sur Radio France Internationale (RFI), Kiki, «ministrillon» de l’Intérieur, dit accueillir favorablement l’offre de «dialogue» de Saïd Hamidou Mouigni Allaoui (et Natuk Mouzaoir) pour le départ du pouvoir du dictateur fou et terroriste Assoumani Azali, petit-fils de Boinaheri, mais après le «scrutin présidentiel de 2024», auquel le satrape de Mitsoudjé sera candidat et «gagnant». Ce «dialogue» est plutôt un monologue de sourds. Depuis des années, l’opposition appelle au dialogue afin de faire sortir le pays de l’embourbement dictatorial. La dictature n’a jamais voulu discuter, mais a toujours dit: «Nous acceptons la négociation, mais rien n’est négociable. Ce qui est fait est fait. Le match est déjà joué». Le fait accompli règne.

Or, du jour au lendemain, la dictature dit doctement qu’elle est prête à accepter l’offre de de «dialogue» de Saïd Hamidou Mouigni Allaoui et Natuk Mouzaoir, qui ne disposent pas de partis politiques, mais de carcans et carcasses d’hyènes dont les seuls membres sont eux-mêmes et leurs épouses respectives. Les initiés savent que cette «offre de dialogue» est «acceptée» car née de la complicité entre Mouigni Baraka Saïd Soilihi et le dictateur de Mitsoudjé. Saïd Hamidou Mouigni Allaoui et Natuk Mouzaoir sont le cache-sexe de Mouigni Baraka Saïd Soilihi. Chacun représente sa personne, et les deux lascars sont sous les ordres directs de Mouigni Baraka Saïd Soilihi pour le compte du dictateur pyromane Assoumani Azali, petit-fils de Boinaheri. Le cas de Saïd Hamidou Mouigni Allaoui est trop flagrant.

1.- Le fugitif international Hamada Madi Boléro est chargé d’organiser «le dialogue», avec l’aboyeur public et insulteur officiel Houmed Msaïdié Mdahoma et Ousseini Boina Boina. Ce dernier avait été Vice-président de l’Assemblée fédérale sous la «gendrocratie» de Saïd Mohamed Djohar. Il est le cousin direct de Saïd Hamidou Mouigni Allaoui, qui vient d’être nommé Conseiller à Bête-Salam. Les deux cousins sont originaires de Tsidjé, le village où Kiki a fait sa polyandrie avec une femme ardemment réclamée par l’époux légitime.

2.- Mouigni Baraka Saïd Soilihi et Saïd Hamidou Mouigni Allaoui ont une relation de famille. Alors Gouverneur de la Grande-Comore (2011-2016), Mouigni Baraka Saïd Soilihi avait comme Conseiller à l’Éducation Sania Boina Boina, la sœur d’Ousseini Boina Boina.

3.- Le père de Saïd Hamidou Mouigni Allaoui est l’oncle direct d’Ousseini et Sania Boina Boina. Cherchez l’erreur…

«L’offre de dialogue» est une affaire de famille. Mouigni Baraka Saïd Soilihi prend sa famille pour l’opposition. Il croit qu’en mobilisant les siens, il peut s’exprimer au nom de tout un peuple. L’opposition comorienne en France rue aux brancards, essayant de sortir de sa léthargie pour saisir que «les papas du dialogue» ont quitté subrepticement l’opposition, mais s’en prévalent comme s’ils en étaient les légitimes propriétaires. Or, Natuk Mouzaoir ne cache plus qu’il roule pour la dictature. C’est le moment que choisit Mouigni Baraka Saïd Soilihi pour cosigner avec l’ancien Député Ben Omar, de Ndzouani en Marche (NEM), le mercredi 28 avril 2021 une sommation à Mohamed Ali Soilihi, Président du Front commun des Forces vives, pour lui apprendre les vertus de l’unité de l’opposition. Oui, les deux lascars apprennent au seul Comorien capable de soigner les plaies, de réconcilier les Comoriens et faire cohabiter loups et agneaux, que le moment est à l’unité de l’opposition! Dire cela à Mohamed Ali Soilihi, c’est défoncer des portes ouvertes. Alors, Mouigni Baraka Saïd Soilihi doit arrêter ses combines entre douaniers, et ses larmes de crocodile et de poisson dans l’eau.

Par ARM

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