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Azali et lui: «Ton pied, mon pied», «Pas un pas sans Bata»

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Azali et lui: «Ton pied, mon pied», «Pas un pas sans Bata»

On ne voit plus Assoumani Azali sans Mohamed Saïd Fazul

Par ARM

       D’accord, Mohamed Saïd Fazul dit Babadi, le semblant de «Gouverneur» de Mohéli, n’a pas de bilan indépendant de celui de son maître, le criminel et vandale Assoumani Azali Boinaheri. Mais, faut-il encore que Babadi perde même son existence autonome au profit du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, au point de le suivre partout, jusqu’à devenir son ombre? C’est honteux! C’est scandaleux!

Le vendredi 12 juin 2020, le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri arrive à Mohéli en provenance d’Anjouan. Dans ses bagages, il y avait Babadi et Fatima Hamidi, sa première épouse, la vendeuse de piment, huile de coco et feuilles de manioc pilées à l’Hôtel Le Moroni. Le couple de serpents était à Anjouan avec lui. Ouf! Le lundi 15 juin 2020, le dictateur inculte et ignare Assoumani Azali Boinaheri quitte, enfin, Mohéli pour rentrer chez lui en Grande-Comore. De nouveau, il a dans ses bagages Babadi et Fatima Hamidi, la racketteuse des vendeuses du Marché de Fomboni, des ramasseurs de sable à la plage de Fomboni, de toutes les personnes qui font sortir des produits alimentaires de Mohéli vers les autres îles.

Il est donc normal pour Babadi d’avoir oublié la langue de Mohéli, pour ne parler que celle de la Grande-Comore, l’île où il a désormais sa résidence, son bureau et ses étagères pour vendre son piment, son huile de coco et ses feuilles de manioc pilées. Déjà, les Mohéliens s’interrogeaient sur le fait que Babadi n’a jamais fait un pas sans Fatima Hamidi sur ses talons, même pour un voyage de 24 heures en Grande-Comore. Sarcastiques et caustiques comme à l’accoutumée, ils reparlaient du fameux couple des inséparables «Bamdomoni et Fatima Nkaboi». À Mohéli, c’est l’équivalent de «Pas un pas sans Bata», ou «Ton pied, mon pied»: là où l’on voit l’un, on voit l’autre. Maintenant, Babadi n’est plus la personne qu’on suit et accompagne; c’est lui le suiviste accompagnateur.

Que Dieu maudisse la médiocrité des médiocres! Aucun pays au monde n’a produit un déchet aussi médiocre, infect, dégueulasse et nullissime que Babadi. Le tuer ne serait pas le punir, mais lui rendre service, l’aider à en finir enfin avec une vie inutile et misérabiliste. Babadi sert à quoi dans ce monde? À rien. Une nouvelle fois, que Dieu maudisse la médiocrité des médiocres.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 25 juin 2020.


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