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Azali Assoumani, gravement malade et hospitalisé à Paris

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Azali Assoumani, gravement malade et hospitalisé à Paris

Sa tumeur au cerveau avait failli provoquer sa mort en France

Par ARM

      C’est devenu un rituel. Chaque fois qu’il est de passage à Paris, il sombre dans la folie, et tient des discours décousus, des discours sans queue, ni tête. «Il», c’est le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Son équipée à Paris à la mi-décembre 2017 s’est soldée par un retentissant fiasco dont on parlera longtemps. Ses dérapages verbaux vont rester dans les mémoires. Les bien-pensants et les chantres de la bien-pensance ont piteusement cherché à lui trouver des excuses pour ses écarts de langage et de comportement, bévues et dérapages devant la presse française (TV5 Monde et Radio France Internationale – RFI).

On l’a même vu bousculer les officiels des autres pays, en jouant aux coudes, juste pour pouvoir figurer en bonne place sur la photo officielle lors de la conférence de Paris sur le climat. On lui tira par la veste pour l’obliger à un peu plus de dignité, et par la suite, il fut supprimé sur certaines photos, comme aux temps des purges staliniennes. Le pauvre chéri…

La réalité est que cet individu est gravement malade. Les médecins qui le traitent à l’île Maurice ont perdu tout espoir de soigner sa tumeur à la tête. Eh bien, ce jeudi 14 décembre 2017, l’homme malade de Mitsoudjé et du Hambou était tombé dans le coma à Paris. Il avait fallu le transporter d’urgence dans tel hôpital parisien, où à plusieurs reprises, il a failli mourir. Il est resté des heures durant en observation avant de pouvoir rentrer à son hôtel. Par la suite, c’est un mort-vivant qui est rentré aux Comores. Il va sombrer dans des délires encore plus hallucinants que ceux auxquels il a habitué les Comoriens ces derniers temps sous couvert de ses assises de la haine et du mépris.

Compte tenu de la gravité de la maladie du «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri, qui conduit les Comores vers un désastre annoncé, il serait hautement utile de revenir sur le livre emblématique: Pierre Accoce et Pierre Rentchnick: Ces malades qui nous gouvernent, Nouvelle édition augmentée, Éditions Stock, Paris, 1997 (494 p.). Les deux auteurs ont obtenu du Professeur Jean Bernard le témoignage suivant, qui correspond parfaitement à la descente aux enfers du dictateur de Mitsoudjé: «On a dit parfois que les puissants de ce monde n’étaient pas bien soignés parce qu’ils avaient une idée préconçue sur les maladies et les médecins, la médecine officielle et les charlatans. On pourrait démontrer, statistiquement, que les chefs d’État ont une durée de vie plus courte que l’ouvrier du coin souffrant de la même maladie. […]. Lorsque j’ai soigné des hommes politiques de haut rang, j’ai souvent été surpris de la crédulité que manifestaient ces dirigeants vis-à-vis des médecines parallèles. […].

Il faut tenir compte de la mentalité très particulière de ces malades qui nous gouvernent et qui refusent d’une part, de considérer leur état de santé comme incompatible avec la direction d’un pays ou d’une armée, et d’autre part, d’admettre que les conséquences de leur maladie peuvent être graves pour leurs concitoyens. […]. On peut parfaitement imaginer une commission médicale dont les membres seraient désignés par le Conseil constitutionnel. Elle examinerait le président de la République chaque année et pourrait constater le début d’une maladie grave. Elle garderait le secret quelques mois et déciderait, à un moment donné, d’alerter le Conseil constitutionnel qui apprécierait et prendrait une décision. Les médecins doivent rester des consultants et non pas des décideurs».

C’est l’avis d’un Professeur en médecine. Les Comores pourraient y penser, surtout à un moment où le désastre sanitaire dans lequel vit le «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri est un désastre national.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 17 décembre 2017.


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