Azali Assoumani fait fuir ses gardes du corps en France
Le petit dictateur de village ne recule devant aucune bassesse
Par ARM
Les Comoriens qui vivent dans le département français de l’Essonne (91) sont désormais habitués à la présence dans leur voisinage de l’un des gardes du corps du dictateur de village Azali Assoumani. Les bonnes âmes seraient tentées de dire: «Il accompagnait son maître lors d’un voyage à l’étranger et a dû s’arrêter en France pour des soins médicaux, et va rentrer aux Comores dès que les problèmes de “sciatique contagieuse” hérités de sa maîtresse bien-aimée seront réglés». Justement, non! Non et non! Il faudra signaler que le «saigneur» Azali Assoumani a trouvé une nouvelle idée qui lui vaudra le Prix Nobel, le Pulitzer, le Prix Sakharov, le Prix Senghor et le Prix Félix Houphouët-Boigny réunis et en même temps.
En effet, depuis qu’il est de retour à Beït-Salam, il a déjà placé en France 18 de ses gardes du corps. Comment fait-il alors? Eh bien, lors de chaque voyage impliquant un passage en France, il demande un visa Schengen au profit de ses gardes du corps. Il en choisit 4 à 6, à qui il dit: «Ici, aux Comores, il n’y a rien. Il n’y a ni vie, ni avenir. Donc, je vais vous demander de vous préparer à vous arrêter en France, à vous y fixer, à y faire votre vie, et à ne rentrer aux Comores que quand vous aurez vos papiers français. Je ne veux pas vous voir aux Comores avant d’avoir obtenu vos papiers français. Si je vois l’un d’entre vous aux Comores avant d’avoir obtenu sa carte de séjour, je le jette en prison. Je ne ris pas en disant cela».
Naturellement, aucun Comorien n’ira en prison par refus de vivre en France. Déjà, quand on voit le nombre de Comoriens qui meurent en haute mer en tentant d’aller à Mayotte, on comprend que si cette île représente l’eldorado pour eux, la France est leur eldorado suprême. Oui, aucun Comorien ne sera jeté dans un cachot parce qu’il a refusé de vivre en France. Et c’est ainsi que cet ancien garde du corps du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani se cache dans l’Essonne, dans l’attente du «mariage» qui va lui permettre d’obtenir une carte de séjour, et plus tard la nationalité française. Cet homme est originaire de Vanamboini, et l’adresse de l’appartement dans lequel il se terre comme un rat est connue de tous les Comoriens de l’Essonne. Que ces petits trafiquants n’essaient donc pas de finasser et de nier.
C’est un exemple parmi tant d’autres. C’est quand même triste parce que, en descendant dans la fosse la plus fangeuse, le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani entraîne toute la nation comorienne dans la fange. Son scandale éclabousse toutes les Comores. Naturellement, il est dans la fantasmagorie selon laquelle «voler un Blanc n’est pas voler». Or, il fait plus que voler parce que, pour le malheur des Comoriens dans leur ensemble, il représente leur pays. En plus, il commet la gravissime erreur de se faire mépriser par les autorités du pays dont le Consulat délivre les fameux visas Schengen. Ces autorités savent qui est rentré aux Comores et qui biberonne en France, en toute illégalité, qualifiant le dictateur de village de trafiquant de visas Schengen. Même le «Député» Tocha Djohar, grand fraudeur du métro parisien, est déjà «localisé» par les autorités françaises. Il prend toujours le wagon de tête quand il monte dans le train du RER à Corbeil-Essonnes pour «contrôler» les contrôleurs, et la chose se sait.
Les vilénies du «saigneur» Azali Assoumani sont scotchées sur le dossier personnel du dictateur de village, et un beau jour, toutes ces saletés vont lui exploser à la figure. Ce jour-là, dans un grand élan de dignité, les Comoriens devraient rester chez eux au lieu de s’attrouper devant les grilles de l’Ambassade de France aux Comores en signe de protestation et de solidarité avec un homme sans honneur, ni dignité, ni personnalité.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 25 novembre 2016.