Assoumani Azali fait chanter l’ami Abdou Oussene
Il se sert du vol de pétrodollars arabes par le beau gosse
Par ARM
Lors d’une conférence internationale, devant une belle brochette de diplomates chevronnés et de parlementaires expérimentés venus du monde entier, le Grandissime Docteur Abdou Oussene, Président de l’Assemblée de l’Union des Comores, avait eu cette sublime phrase d’anthologie: «Je suis beau et élégant». Même si les personnalités venues des grandes puissances ne s’émeuvent plus face aux bêtises et crâneries des autorités venues des sombres Républiquettes tropicales et équatoriales enfouies dans les bas-fonds du sous-développement, quand ils ont entendu le beau gosse du Perchoir se noyer dans un discours d’autoglorification complètement débile et frisant la folie furieuse, ils ont failli s’étrangler. Ils venaient d’entendre des imbécillités de collégien gommeux aux oreilles décollées.
Le beau gosse a été placé à la Présidence de l’Assemblée de l’Union des Comores par le Vice-président Nourdine Bourhane, mais l’a oublié. Il a pactisé avec le diable, le «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Il se voit Président des Comores de 2021 à 2026, alors que Bakapihi, en individu qui a déclaré publiquement faire «enceinter» sa première femme, la pauvre Ambari Darouèche du haut de ses 61 ans (la grande sœur est née en 1957), veut rester au pouvoir «jusqu’à l’horizon 2030». Du coup, ça coince entre les deux hurluberlus.
Le Grandissime Docteur Abdou Oussene s’est vu approcher par un très proche confident du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. L’émissaire de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé lui a demandé de préparer sa démission et s’apprêter à laisser l’intérim au diabolique Maoulana Charif en temps opportun. Quel est le but de la manœuvre? Le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri a besoin d’un homme sûr pour lui confier son intérim en cas de démission après le référendum truqué qu’il se prépare à imposer aux Comoriens. L’homme providentiel est tout trouvé: le satanique Maoulana Charif. Le scénario crapuleux est écrit. Après la réforme constitutionnelle pour convenance personnelle, le Saigneur Assoumani Azali Boinaheri démissionnera, et le démoniaque Maoulana Charif assurera l’intérim, comme l’avait fait le fugitif international Hamada Madi Boléro de janvier à avril 2002, pour dévergonder dans la saleté l’élection. Le temps d’une élection tronquée puis, comme par enchantement, le tyran reviendra au pouvoir comme en 2002.
C’est humain: l’ambitieux Abdou Oussene a refusé. L’émissaire de Satan lui a sorti un document de la Banque centrale des Comores (BCC). Sur ce document bancaire, la preuve est établie qu’une très importante somme d’argent a été versée par tel pays arabe au bénéfice de l’Assemblée et que le Grandissime Docteur Abdou Oussene, Président de l’institution, a viré le pactole sur son compte privé. Ce document est utilisé pour exercer sur lui un chantage aux petits oignons. On est entre voyous. Mais, le voyou du perchoir va-t-il céder ou non?
Le Grandissime Docteur Abdou Oussene continue de refuser. Mais, pendant combien de temps va-t-il résister encore? S’il continue de s’entêter, la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé va l’assassiner afin de pouvoir réaliser son projet chthonien. Donc, si le Grandissime Docteur Abdou Oussene meurt bientôt, ça sera un assassinat. Cet assassinat sera signé: «Ripoux-blique» de Mitsoudjé.
Par ARM
Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.
© www.lemohelien.com – Jeudi 1er mars 2018.