Assoumani Azali échange le coronavirus contre l’argent
Ce fou exige que les gens se disent atteints par la maladie
Par ARM
Jean-Baptiste Placca, journaliste à Radio France Internationale (RFI), avait vertement critiqué Dioncounda Traoré, Président par intérim du Mali du 12 avril 2012 au 4 septembre 2014, le jour où ce dernier s’était ridiculisé en disant qu’il aurait aimé que le Président français François Hollande soit le frère qu’il n’a jamais eu. Aucun dirigeant occidental ne désigne son homologue étranger par «mon frère». Or, les dirigeants arabes et africains, par complexe d’infériorité et par bêtise, ne parlent de leurs homologues étrangers qu’en «frères». On n’a jamais entendu Emmanuel Macron parler de «mon frère Donald Trump», encore moins de «mon frère Assoumani Azali Boinaheri». Qu’on se le dise! Et voilà que le poète céleste Assoumani Azali Boinaheri se lance dans des délires, divagations et radotages de fou sur «Son Excellence mon frère le Président chinois Xi Jinping», sur qui il jette toutes les fleurs du monde pour «avoir maîtrisé», «grâce à nos prières», la pandémie de coronavirus, justement partie de Chine populaire.
La communauté internationale aurait tant aimé que le musicien divin Assoumani Azali Boinaheri explique en quoi la Chine a pu «maîtriser» la pandémie «grâce à nos prières» afin que les autres pays en suivent cet heureux exemple. C’est comme quand ce chef d’État africain prétendait stupidement qu’on guérissait du sida par une douche ou par des feuilles de patate douce après des rapports sexuels avec une personne sidatique ou sidéenne. Ce que le danseur divin Assoumani Azali Boinaheri ne dit pas en public, c’est qu’il a organisé une réunion avec ses proches pour voir comment il serait possible de proclamer que les Comores sont ravagées par le coronavirus afin que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) offre des millions d’euros aux Comores, pays pauvre sans capacité de gérer la pandémie de manière autonome. Il veut même qu’on oblige les gens à se dire atteints du coronavirus, toujours pour les besoins de la «cause». Il va sans dire que ça ne serait pas de l’argent devant servir aux «prières pour la maîtrise» de la pandémie, mais pour enrichir davantage les voleurs de poules de la dictature de Mitsoudjé.
Pis, le poète électoral divin Assoumani Azali Boinaheri a même suggéré aux siens le plus honteux des procédés les plus malsains et les plus indécents: faire voyager un Comorien vers un pays à risque afin qu’il rentre malade, moribond et même mort à Moroni pour qu’il puisse déclarer, la larme de crocodile à l’œil, que les Comores sont en danger. Nous sommes en présence d’un individu complètement fou et sans la moindre once de honte, et qui aime se faire de l’argent par les plus honteuses des méthodes. Son fugitif international Hamada Madi Boléro, surnommé «Makridine», «le Religieux de la Magouille», ne se fera pas prier pour l’aider à réaliser son projet afin qu’ils aillent par la suite se partager le magot dans leur région d’origine commune du Hambou. Hé oui! Déjà, le dictateur pavoise en la matière, et prétend avoir pris toutes les dispositions pour «maîtriser» le virus à l’échelle des Comores à l’aide de «la prière», sans doute. Quelle compétence! Quelle expertise! Quelle grandeur d’âme.
En tout état de cause, l’immense foutaise pompeusement baptisée «Commission Coronavirus», crapuleusement créée par la ministre de la Santé malade à la demande de ses maître de Mitsoudjé, lève les mains au ciel et prie pour qu’on annonce la destruction des Comores par la pandémie afin de récolter l’argent de la communauté internationale.
Par ARM
Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.
© www.lemohelien.com – Mardi 17 mars 2020.
