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Après le riz de luxe, Ambari, trabendiste d’êtres humains

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Après le riz de luxe, Ambari, trabendiste d’êtres humains

Elle a fait fuir clandestinement son garde du corps en France

Par ARM

      Décidément, elle ne recule devant aucune honte, Ambari, l’emblématique, «légendaire et historique» première épouse du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Chaque jour, elle fait reculer les frontières de la honte et de l’opprobre dès qu’il s’agit d’argent et de pouvoir.

Sa dernière prouesse est digne de sa sinistre réputation de rapace, à un moment où son mari volage parle de «rapaces» qui veulent cannibaliser la jeunesse comorienne. Oui, après avoir vu et consulté Zarzour Regragui, son flamboyant sorcier marocain de Paris, les yeux dans les yeux, Ambari a dit à son garde du corps: «Maintenant, tu peux partir. Sois discret. Va construire ta nouvelle vie, et ne rentre aux Comores qu’après avoir obtenu ta nationalité française. Surtout ne te fais pas attraper après l’expiration de ton visa».

Dès qu’il a entendu ces paroles de miel, le garde de corps d’Ambari a pris la poudre d’escampette, déployant des trésors de dignité pour ne pas faire la bise sur les deux joues de la cheffe trabendiste de riz de luxe et d’êtres humains. Qu’on se le dise! Dès le départ de Moroni, ma grande sœur bien-aimée Ambari savait que son garde du corps allait arrêter sa route au Blanc-Mesnil, en région parisienne, et qu’il avait déjà son plan d’immigration légale devant verser dans l’illégalité et la clandestinité à l’expiration de son visa diplomatique. En d’autres termes, Ambari a été complice dès le début de cette opération mafieuse. Après Kiki, l’ancien docker de Dunkerque devenu «ministre de l’Intérieur», après avoir réussi la prouesse mondiale d’«obtenir» le même jour son «Master 2» et son «Doctorat» en «Intelligence économique», c’est la première épouse du dictateur de Mitsoudjé en personne qui aide à l’immigration clandestine en France, faisant pâlir d’envie Mohamed Saïd Fazul dit Babadi.

Maintenant, des questions se posent: est-ce que Jacqueline Bassa-Mazzoni, Madame l’Ambassadeur de France aux Comores, est au courant des trafics de visas orchestrés par les autorités comoriennes chaque fois qu’elles doivent passer en France? Est-ce que Madame l’Ambassadeur de France va laisser les arsouilles du régime politique actuel souiller les visas Schengen avec autant de désinvolture criminelle? N’est-ce pas le moment pour l’Ambassade de France aux Comores de faire arrêter cette mascarade criminelle?

Pour sa part, Bellou Magochi (confondant chaussure droite et chaussure gauche, et s’habillant comme un pou) a confirmé l’information à Bête-Salam, non loin de l’endroit où sa cheffe Ambari a fait enterrer vivante une vache en guise de sacrifice. Surtout que Bellou Magochi ne se mette pas à nier ses propres propos parce qu’il sera confondu par un tas de témoins.

Voilà où est la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Toujours est-il qu’entre son danseur Saïd Larifou dit Valentin le Désossé et son voleur personnel Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, Ambari a de quoi voir venir en matière de constitution de faux dossiers pour vrais visas Schengen. Aujourd’hui, il est clair que seule l’Ambassade de France aux Comores peut arrêter cette mascarade, et doit l’arrêter.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 15 décembre 2017.


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