Un faux sambiste sévit à Mayotte, d’où il trahit son pays
Ce traître critique la dictature sur Facebook, mais trahit
Par ARM
C’est d’une tristesse…
Au moment où les Comoriens se passionnent pour la trahison réelle ou supposée de Mohamed Chafioun de Mbéni envers son pays, en pactisant avec le dictateur Assoumani Azali, d’après certain, ils ne savent que les traîtres sont partout, y compris parmi les têtes de l’opposition. Le boulanger Mouigni Baraka Saïd Soilihi, Président du Comité national de Transition (CNT), dépêche matin, midi et soir des délégations à Bête-Salam pour quémander un poste de ministre, prétendument dans le but de démocratiser la dictature. C’est comme s’il avait vécu au VIème siècle et avait voulu convertir à l’Islam Abou Lahab afin de lui faire éviter les malheurs de l’enfer qui lui sont promis dans une sourate entière ainsi qu’à son épouse. Le «Docteur» Jimmy Adam, en France, est un traître notoire qui rend compte à ses copains Fakri Mradabi et Daoud Halifa. Ce Daoud Halifa, qui se répand ces derniers temps en larmes de crocodile contre la dictature, ne trompera que les gogos, les gagas de la tête et les cocus, quand il prétend qu’il s’est retourné contre sa dictature chérie. À d’autres! À d’autres!
Mais, le traître le plus dangereux se cache à Mayotte, d’où il inonde la Planète de billets sur les réseaux sociaux «contre» la dictature. Cet homme prétend être un partisan de l’ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Cet homme prétend être en relation permanente avec l’ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Cet homme prétend être le plus acharné des adversaires de la dictature de «L’Éternel Rescapé divin» Assoumani Azali Boinaheri. Or, il ment. Il est mouillé jusqu’au cou dans la propagande devant faire accréditer la thèse de la fausse tentative d’attentat contre l’avion transportant «L’Éternel Rescapé divin» Assoumani Azali Boinaheri, contre lequel il ne peut pas s’acharner puisque celui-ci est son patron. Il est très agité à Mayotte, prétendument contre la dictature, mais agit toujours pour le compte de celle-ci. C’est un traître notoire et maudit de son village qui est son référent à Bête-Salam. Tout ce qui se dit et se fait dans les réunions de l’opposition arrive aux oreilles de la dictature par sa bouche.
Il vient de saboter une partie du travail de l’opposition, mais celle-ci a honte d’en parler publiquement parce qu’elle ne veut pas perdre la face et reconnaître qu’elle donne le sein et le biberon à un serpent à sonnettes tout droit venu de l’enfer. Comme l’avait dit le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi un jour de mars 2011, «“Il n’y a de Dieu qu’Allah, et Mohammed est Son Prophèteˮ. Mais, à qui faire confiance dans ce pays?». Le traître en question est pire qu’un crotale. C’est un envoyé de Satan et du Diable sur Terre. Il est mauvais. Il est fourbe. Il est indécent. Naturellement, quand, bientôt, soit dans deux semaines, son nom sera jeté en pâture à l’opinion publique, les Comoriens vont être définitivement dégoûtés, et certains parmi eux ne feront plus jamais confiance à un politicien. Ce traître est le fils maudit né dans un bordel de l’enfer de l’accouplement d’Abou Achirafi Ali Bacar et de Toiliha Dhoulkamal, le faux Dhoihir Dhoulkamal. C’est promis: bientôt, son nom et sa photo vont être divulgués sur ce site, avec la mention «traître, escroc, voleur et menteur».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 4 juin 2020.
