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Assoumani Azali se bagarre dans les rues de Paris

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Assoumani Azali se bagarre dans les rues de Paris

Il exporte bien ses méthodes de voyou sans manières

Par ARM

     Le traître professionnel, pavlovien et pathologique Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, a des soucis à se faire. Il vient de perdre son titre et sa couronne de plus grand boxeur-catcheur comorien de tous les temps. Le titre et la couronne ont été remis le dimanche 21 juillet 2019 au mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».

Cette belle promotion de boxeur-catcheur est due au fait que dans l’après-midi du dimanche 21 juillet 2019, un accrochage très grave a eu lieu devant l’Ambassade des Comores en France, entre la bande de voyous qui accompagnent le dictateur fou de Mitsoudjé et des valeureux manifestants de la communauté comorienne installée en France. Il a fallu que la Police intervienne pour évacuer Kiki, Houmed Msaïdié Mdahoma et autres voyous et brigands. Le shakespearien Saïd Ahmed Saïd Ali s’est cru plus audacieux en injuriant le père d’un manifestant qui filmait la scène, en citant les noms de ceux qu’il accusait à juste titre de pomper et siphonner les maigres ressources du pays. Quant à Poti Mlanao, neveu et gendre du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, il s’est cru permis d’agir comme dans son hameau de Mitsoudjé, en agressant physiquement un autre manifestant, que les pompiers ont dû secourir, avant de le transporter vers un hôpital parisien.

Ce qui est remarquable dans tout ceci, c’est la formidable détermination des patriotes comoriens luttant contre la dictature de Mitsoudjé. La tension est montée et le voyage du dictateur de Mitsoudjé à Paris s’est transformé en cauchemar pour ce dernier, malgré ses crâneries en public. Tout n’est mépris et méprise dans cette équipée à l’utilité douteuse et introuvable.

Et, il y a Marseille, la ville où il y a plus de Comoriens qu’à Moroni, capitale des Comores. Le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri voulait s’y rendre, notamment pour récolter directement et personnellement l’argent de son immeuble qu’il a mis en location, rue Pasteur. Eh bien, à Marseille, a été organisée une marche jusqu’à la Préfecture, où nos valeureux patriotes ont reçu la confirmation suivante: le bambochard Assoumani Azali Boinaheri et ses roquets n’y seraient pas reçus. On est obligé de ricaner à mort en apprenant de cette personnalité de la Préfecture des Bouches-du-Rhône et de la Mairie de Marseille qu’est vivement déconseillée toute tentative du boxeur-catcheur Assoumani Azali Boinaheri de se rendre à Marseille, où les autorités ne le recevraient pas. Oui, oui, vous avez bien lu…

Dans cette ambiance de ferveur patriotique, on ne peut que féliciter, encourager et remercier les valeureux patriotes qui ont organisé une belle manifestation, du boulevard des Invalides au Quai d’Orsay. Cette manifestation fut une très belle réussite, ayant mobilisé plusieurs femmes et hommes, de différentes générations, dans une ambiance survoltée.

L’humiliation a été insupportable pour le dictateur fou de Mitsoudjé quand il a vu des Comoriens aimant leur pays scander devant son hôtel «Azali, assassin!» et d’autres slogans également hostiles et toxiques. Si au moins il avait été reçu avec les honneurs depuis son arrivée à l’Aéroport de Roissy…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 23 juillet 2019.


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