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Saïd Chayhane mort noyé dans le budget de 100 milliards

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Saïd Chayhane mort noyé dans le budget de 100 milliards

Il financera un budget de 100 milliards de francs avec ses poils

Par ARM

      Il n’a qu’un seul souci. Oui, Saïd Ali Saïd Chayhane (Ouf! Ouf!) n’a qu’un seul souci: être et rester dans les bonnes grâces de son propriétaire personnel, le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Après avoir bu l’eau du slip, des chaussures et des pieds du tyran de Mitsoudjé, Saïd Ali Saïd Chayhane (Doux Jésus!) sert de baby-sitter à son maître pour que le Bébé ne soit pas égaré. Dégoulinant d’obséquiosité servile et larmoyante, le baby-sitter de Mkazi a toujours été très bien rémunéré en retour par son maître. Pour preuve, le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri, qui est son propriétaire, le possède effectivement et en dispose à sa guise, a violé une règle de la Douane comorienne en le nommant chef des gabelous alors qu’il n’a même pas le grade d’Inspecteur des Douanes. Le Bébé vaut bien la transgression des règles de la Douane par Papa au profit du beau-père. Et honni soit qui mal y pense. Allons bon…

      Lors du scrutin présidentiel atrocement truqué, dévergondé et trafiqué de 2016, Saïd Ali Saïd Chayhane (Au secours! Au secours!) avait été nommé Directeur de la campagne électorale du putschiste de Mitsoudjé, mais les initiés savaient que cette nomination relevait de la pire fantaisie, et cela, pour une raison bien simple: le véritable Directeur de cette campagne électorale n’était autre que Haïdar Souef, le cousin du tyran de Mitsoudjé. Mais, en larbin «lèche-bottiste» habitué à faire du «lèche-bottisme», Saïd Ali Saïd Chayhane (Ouf! Ouf!), en homme qui a perdu ses dernières illusions sur la nature humaine et sur lui-même, ferma la serrure du peu de fierté personnelle qui lui restait quand il a vendu son âme au diable, et a remis la clé à son maître de Mitsoudjé, qui l’a jetée dans les égouts.

En juin 2016, pour services rendus à la garderie du putschiste de Mitsoudjé, il fut nommé «ministre des Finances et du Budget», où il se signala à la fois par ses cravates d’un goût douteux et s’arrêtant au niveau du nombril et par la multiplication de données et chiffres macroéconomiques absolument fous. Il fit voter à l’Assemblée de l’Union des Comores une loi des finances dont les dépenses sont passées de 29 à 81 milliards de francs, juste pour amuser le tapis. Il soumet les opérateurs économiques comoriens à la plus criminelle des pressions fiscales, mais pour ne cumuler qu’à 31 milliards de francs comoriens. Pourquoi? Parce que la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé vole des sommes faramineuses au peuple comorien, et même si cela n’avait pas été le cas, il aurait été impossible d’obtenir les 81 milliards de francs comoriens. Saïd Ali Saïd Chayhane (Au feu! Au feu!), poussé par la folie mégalomaniaque, est à l’origine d’une autre énormité, lui qui avait déclaré que les Comores allaient procéder à des investissements de 211 milliards de francs comoriens en 2016-2017.

Ce qui est absolument burlesque et loufoque, c’est que les Comores n’ont pas été capables de financer un budget de 81 milliards de francs comoriens en 2017, et voilà le larbin du Bambao lancé dans une nouvelle extravagance budgétaire, en faisant voter aux Députés une loi des finances assortie de 100 milliards de francs comoriens. Monsieur se trouve dénudé par le vent. Or, au lieu de demander un slip pour cacher sa nudité, il réclame une bague en or sertie de diamants de Namibie. Où est la logique dans cet étalage de folie et d’incompétence criminelle?

Toujours est-il que pour faire voter sa scélérate loi des finances, Saïd Ali Saïd Chayhane (À l’aide! À l’aide!) a remis des enveloppes de 5.000 euros (2.500.000 francs comoriens) pièce à des Députés. Il aurait fallu dire aux Comoriens de quelle manière Saïd Ali Saïd Chayhane (Ouf! Ouf!) a financé la danse de Mbihou demandée par ma grande sœur bien-aimée, Ambari, Place Mroni à Mutsamudu, pendant que Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, interdit toute célébration le 31-Décembre, sauf dans les bordels, boîtes de nuit et hôtels. Les Comores sont devenues la Somalie aux temps maudits des Al Shabab également maudits.

Au même moment, ce sont des Comoriens absolument médusés qui découvrent un Saïd Ali Saïd Chayhane (Allons bon…) incapable de faire aimer les assises de la haine et du mépris dans un village voisin au sien, où les membres du Comité de Pilotage de la chose partis y faire la propagande de ce projet anticonstitutionnel et antipatriotique y ont été chassés comme les voleurs qu’ils sont. Il y a juste quelques mois, son chef l’intronisait Sultan de la Confrérie des Renégats et des Criminels (CRC) dans la région du Bambao.

En réalité, les temps sont durs pour tous les traîtres, et la chose a été constatée quand Saïd Mohamed Sagaf, parti vendre sa petite sauce personnelle sur ses assises de la haine et du mépris à ce qui sert d’Université à Mvouni (Tiens, tiens), s’était répandu en pleurnicheries larmoyantes sur le rejet de son projet, qui tourne en eau de boudin et part en quenouille, face à l’opposition et à une population qui ne pense qu’à ses soucis quotidiens.

Sale temps pour les traîtres et les faux-culs.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 27 décembre 2017.


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