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Kiki, délicieuse mère maquerelle d’Azali Assoumani

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Kiki, délicieuse mère maquerelle d’Azali Assoumani

Le bunga-bunga a fait sauter 7 fois l’État et la République

Par ARM

      Le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri a créé un mode de «gouvernance» que les spécialistes de la gestion publique peuvent déjà qualifier de sui generis. Ceci est d’autant plus vrai que désormais, les Comores constituent le seul État au monde tenu par le sexe et dirigé pour le sexe. Il s’agit de la gouvernance du sexe, par le sexe et pour le sexe. Ailleurs, dans le monde, il y a des autorités libidineuses, mais dans les Comores actuelles, un pas très dangereux a été franchi. La corruption au plus haut niveau de l’État, l’incompétence criminelle des autorités supérieures, la vénalité institutionnalisée, la gabegie et le népotisme le plus malsain et le plus indécent n’ont qu’une seule finalité: le «Mchipa» ou «Muscle», c’est-à-dire, le sexe. Celui-ci est sacralisé, sanctifié et vénéré.

Vie privée? Des clous! On aurait pu parler de vie privée et oublier ce qui se passe derrière les portes closes, mais comme toute cette débauche sexuelle prospère sur le dos courbaturé de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, il ne saurait être question de baisser les yeux par pudeur.

Voici une scène très parlante, dont le principal protagoniste n’est autre que le «saigneur» Azali Assoumani Boinaheri. Il téléphone à sa deuxième maîtresse en titre. Le cœur de celle-ci fait un saut olympique dans la poitrine. Chérie se met alors à susurrer des mots langoureux et sucrés comme du miel à l’oreille de son seigneur. Croyant que son mari légitime ne l’entendait pas, elle eut l’imprudence de lancer au «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri: «L’imbécile maudit est en train de prendre sa douche». Cette charitable parole tomba directement sur les oreilles de «l’imbécile maudit», qui se sépara de Madame, ouvrant ainsi la porte au putschiste multirécidiviste, qui légalisa une sale union qui durait déjà depuis quelques années et faisait jaser.

Pendant ce temps-là, Marie-Madeleine, première «maîtresse légendaire et historique» du coq de village, se contentait d’un strapontin «conjugal», notamment lors des déplacements officiels à l’étranger, en espérant mieux. La Sultane Ambari observait ce manège salace, tentant de limiter les dégâts, bien consciente que la famille du coq de village pousse celui-ci à légaliser la vieille relation adultérine avec Marie-Madeleine, chez qui il aime faire la sieste quand il est à Mitsoudjé. Une affaire de voisinage…

Cependant, la patience de la Sultane Ambari a ses limites, et si cette gente dame avait accepté Marie-Madeleine dans la délégation partie à la session annuelle de l’Assemblée générale de l’ONU en septembre 2016, Dame Ambari cria au loup et priva Marie-Madeleine du voyage en septembre 2017. Nous compatissons. Ce que la Régente de Mitsoudjé ne sait pas, c’est que son lapin inclut dans la délégation une autre maîtresse, noyant cyniquement et perfidement le poisson par la présence dans cette délégation pléthorique de nombreuses autres femmes aussi inutiles que futiles. La Palme d’Or de la débauche sexuelle au sommet de l’État vient d’être remportée avec brio et maestria. Cela fait partie du grandiose projet d’«émergence à l’horizon 2030». Les Comoriens sont sommés d’y croire… Saïd Larifou y travaille.

Et c’est alors qu’entra en scène Kiki, l’ancien docker de Dunkerque. Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, a compris la place du bunga-bunga dans la «gouvernance» de son Sultan. Il a pris toutes les dispositions pour devenir sa mère maquerelle… mais à Anjouan. Comme Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, a ses habitudes à l’Hôtel Florida, il fait partager les charmes de l’endroit à son Sultan, qui multiplie ses divagations sexuelles à Anjouan, sous couvert de missions officielles, soit pour les assises, soit pour l’«émergence verbale et dansante».

Par cette pirouette de la braguette, Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, peut réaliser tous les vols d’argent public qu’il veut, soit sur le trabendo nauséabond des passeports qu’il vend au Moyen-Orient, soit sur le détournement de l’argent destiné à la gestion complètement ratée de l’eau courante à Moroni, cet argent public étant devenu la propriété personnelle de l’une des nombreuses maîtresses de l’homme qui renia sa propre mère pour une autre «mère» qui allait lui permettre d’acquérir la nationalité française de la manière la plus frauduleuse.

Décidément, le peuple comorien découvre chaque jour que «l’émergence verbale et dansante» emprunte des voies très spéciales, et a la particularité de sortir des sentiers battus.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 31 octobre 2017.


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