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Hamada Madi Boléro fait Roi par ses anciens ennemis

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Hamada Madi Boléro fait Roi par ses anciens ennemis

Ses anciens ennemis de Mitsamiouli l’intronisent à la COI

Par ARM

     «Il n’y a de Dieu qu’Allah, et Mohammed est Son Prophète». De nouveau, le Tout-Moroni ricane. De nouveau, le Tout-Moroni est dans une confusion confondante. Et pour cause! Dans la capitale des Comores, on n’a pas oublié que le printemps et l’été 2014 avaient été rythmés par le long cri de haine lancé par une partie de la notabilité grande-comorienne contre le futur fugitif international Hamada Madi Boléro quand il avait dit que le Grand-Comorien Saïd Mohamed Cheikh, Président du Conseil de gouvernement sous la colonisation française, et plus particulièrement sous l’autonomie interne, avait été le chef d’orchestre de la partition des Comores par le refus de la solution de l’indépendance par Mayotte, et que le Grand-Comorien Ali Soilihi avait été le premier Comorien à avoir perpétré un putsch. En réalité, pour Ali Soilihi, la notabilité de la Grande-Comore ne faisait pas grand cas, mais dans le cas de Saïd Mohamed Cheikh, l’affaire relevait purement et simplement du crime de lèse-majesté. Et, il se trouve que Saïd Mohamed Cheikh est de Mitsamiouli. Et, ce ne fut pas un hasard si le samedi 28 mai 2014, c’est à Mitsamiouli qu’avait eu lieu la grosse réunion contre Ikililou Dhoinine, qui refusait de mettre fin aux fonctions du futur fugitif international Hamada Madi Boléro à Beït-Salam, où il était le Directeur de son Cabinet chargé de la Défense, le Père Joseph du Mal et des combines politiciennes.

     Ce samedi 28 mai 2014, à Mitsamiouli, il avait été décrété qu’Ikililou Dhoinine ne serait plus accueilli par la population de la Grande-Compre et que partout où il serait, la Grande-Comore ne serait plus. Il avait également été proclamé que les notables grands-comoriens n’assisteraient pas aux cérémonies commémoratives de la Fête de l’Indépendance, le dimanche 6 juillet 2014. Il avait fallu recourir à des notables contre d’autres notables, et l’affaire finit par être éclipsée par d’autres événements politiques et diplomatiques sans que les plaies ne se soient cicatrisées. Pour autant, il semble qu’aujourd’hui, la notabilité de Mitsamiouli a déjà jeté la rancune à la rivière et qu’elle n’a des yeux que pour son nouveau chouchou, son protégé bien-aimé et chéri: l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro. En effet, parmi les personnes accompagnant le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani pour aller introniser l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro à la tête de la Commission de l’océan Indien ou COI à Maurice, – pauvre organisation régionale! –, il y a bel et bien certains des anciens ennemis les plus farouches de l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro originaires de Mitsamiouli et qui voulaient bouffer tout cru de «“l’apatrîleˮ à l’insularité tournante». On peut citer: Ali Nassor, Saïd Djaé, Saïd Salim Hamissi et Colonel Abdallah Gamil, ce dernier ayant été chassé de la tête de l’État-major de l’Armée nationale de Développement (AND) le 11 octobre 2012, date d’entrée du futur fugitif international Hamada Madi Boléro et du Colonel Youssoufa Idjihadi respectivement à Beït-Salam et à la tête de l’AND.

     Aujourd’hui, le Tout-Moroni croit savoir que c’est parce que l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro s’est réconcilié avec tous ses ennemis de la galaxie crypto-sambiste, y compris avec Ahmed Sambi lui-même, pour introniser dans la fraude, la terreur, la menace et la fange, le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani que tout cela est devenu possible. Nous devons rappeler qu’en 2014, l’ancien satrape Ahmed Sambi était pour beaucoup dans le cri de haine lancé contre le Père Joseph d’Ikililou Dhoinine par une partie de la notabilité grande-comorienne, et aujourd’hui, comme il fait la bise sur les deux joues à l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro, il a appelé ses hommes au calme. En tout état de cause, aujourd’hui, force est de constater que l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro reçoit du grand diplomate mauricien Jean-Claude de L’Estrac une COI en pleine forme olympique, qu’il va complétement dénaturer et discréditer par le côté qui lui a valu l’infamant et infâme surnom de «Makridine», «le religieux de la magouille».

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 10 juillet 2016.


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