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Azali tue Major Hakim Bakari, l’opposition dort, ronfle

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Azali tue Major Hakim Bakari, l’opposition dort, ronfle

L’opposition, sans action, écrit des blablas sur du papier

Par ARM

       Dans la nuit du 8 au 9 avril 2021, le dictateur fou et terroriste Assoumani Azali, petit-fils de Boinaheri, a fait tuer le Major Hakim Bakari dit Bapalé, ancien garde du corps de l’ex-Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi et du Gouverneur Salami Abdou Salami d’Anjouan. Dans un premier temps, certaines rumeurs avaient fait entendre que c’était le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi lui-même qui était mort. Quand il avait fallu vérifier la véracité de la rumeur et quand ses proches ne répondaient pas au téléphone, le pire avait été envisagé.

Assassiné, le Major Hakim Bakari, originaire d’Anjouan, a été enterré enveloppé dans des sacs à ordures. Il a été déterré, et cette macabre opération a permis de découvrir sur son corps toutes les traces de la mort violente. L’onde de choc provoquée par cette horreur est incommensurable, à la dimension de cette ignominie sanglante. Cette découverte aurait dû produire deux effets:

1.- La révolte des Anjouanais et le renversement de la dictature de «vache analphabète» de Mitsoudjé sur fond d’Anjouan-2021.

2.- L’opposition aurait dû exploiter cet assassinat pour faire tomber le dictateur fou et terroriste de Mitsoudjé à la suite d’une grande révolte populaire.

Or, les Anjouanais et les opposants ont été défaillants. Zéro! Ils ont parlé, écrit et péroré, mais n’ont pas été capables d’exploiter l’horreur suscitée par cet assassinat commandité par le dictateur fou et terroriste Assoumani Azali, petit-fils de Boinaheri, Bellou Magochi le fasciste atteint de folie, et le «Colonel» Youssoufa Idjihadi dit «Youssoufa Mfamanga», («Youssoufa Poisson séché»), l’ancien vendeur de poisson séché au marché devenu le chef d’État-major d’une Armée de répression et d’oppression.

Cette médiocrité est due au fait que les Comores ont trois oppositions, inconciliables:

A.- L’opposition de salon, papiers et bavardages inutiles par visioconférences, sévissant en France. Elle est un grand repaire d’hypocrites improductifs allant d’échec en échec.

B.- «L’opposition» sous les ordres de la dictature de Mitsoudjé, telle qu’elle est incarnée par le traître en chef Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, et l’avocat déchu Saïd Larifou dit «L’Art-Fou», les deux larrons en foire, deux des pires ennemis du peuple comorien.

C.- La vraie opposition, incarnée par Mohamed Ali Soilihi et d’autres patriotes sincères, mais poursuivie d’un cri de haine par l’opposition de papiers et de salon et «l’opposition» des traîtres.

Paix à l’âme du Major Hakim Bakari, et que Dieu l’agrée au Paradis. Ce militaire, décrit comme «un homme sans problème» par un de ses compagnons d’armes de Mohéli, ne sera jamais vengé. Justice ne lui sera pas rendue. Les communiqués aux larmes de crocodile de l’opposition empêchent son âme de retrouver la paix. L’indifférence bruyante des Anjouanais le fait remuer dans sa nouvelle tombe. Et comment va-t-il retrouver la paix définitive quand le fugitif international Hamada Madi Boléro adresse à sa famille non pas des «condoléances», mais des «condolences», et qualifie le défunt non pas de «garde du corps» mais de «garde-corps»?

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 10 avril 2021.


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